Découverte d’un homme décédé dans une toilette WC de chantier: Témoignage choquant sur la détresse dans le quartier

Il s’est inquiété et a attendu un moment pour s’assurer que les pieds ne bougeaient pas.

Le trentenaire en est alors venu à la conclusion que cet homme était mourant, probablement décédé.

Le corps était partiellement exposé au soleil, allongé sur le dos et une main sur le ventre, sans aucun signe de respiration, semblant être dans un état de mort apparente.

Convaincu qu’il était trop tard et n’osant pas s’approcher davantage, Abdel a alerté les secours. “Ils sont arrivés très rapidement. En dix minutes, l’ambulance était là.”

L’homme n’a pas bougé. Près du corps, on pouvait voir des seringues.

Après avoir constaté que la personne était “défoncée au crack”, les ambulanciers l’ont prise en charge. Elle avait choisi une cabine WC de chantier qui était en très mauvais état : “Même les ouvriers n’osent plus y aller”.

Abdel souhaite alerter. “Avec la présence des dealers à la station de métro Yser et des toxicomanes au Parc Maximilien, le quartier est devenu repoussant. Et en face, la prostitution est revenue dans le quartier Alhambra avec de très jeunes filles sur le trottoir”. Pendant ce temps, les enfants jouent dans le parc, des patients sortent de la clinique voisine, ainsi que les clients d’une salle de fitness. Les regards se détournent et les gens continuent leur chemin. Tout cela se passe à quelques centaines de mètres de la place de Brouckère. D’autres, comme Abdel, s’indignent de cette situation, refusent de la banaliser et alertent les secours lorsqu’ils voient une personne en danger.