déjà 200 candidatures d’agriculteurs

déjà 200 candidatures d’agriculteurs
Veaux avec leur mère à Halle, Gueldre

Nouvelles de l’ONSModifié

En moins de deux semaines, plus de 200 agriculteurs se sont inscrits pour un programme de rachat. Ceci est confirmé par le ministère de l’Agriculture, de la Nature et de la Qualité alimentaire après avoir signalé dans CNRC.

Début juillet, le gouvernement a mis en place deux plans de rachat. Une réglementation est destinée aux pics : les entreprises agricoles et industrielles qui émettent beaucoup d’azote dans les réserves naturelles ou à proximité de celles-ci. L’autre régime est destiné aux éleveurs laitiers, porcins et avicoles qui ne sont pas en période de pointe.

La plupart des 200 candidatures soumises proviennent de chargeurs de pointe. Si ces entrepreneurs arrêtent, ils peuvent vendre leur entreprise à 120 % de sa valeur. Selon le ministre démissionnaire Van der Wal, ce programme “extrêmement attrayant” fermera à nouveau en avril prochain. Les agriculteurs qui ne sont pas des contribuables de pointe reçoivent 100 % de la valeur de leur ferme.

“Beaucoup plus dans le pipeline”

Il est probable qu’encore plus d’exploitations souscriront à ces programmes, a déclaré Paul Bens, directeur de la société de conseil agricole DLV Advies, au NRC. Son agence a accompagné une cinquantaine d’entreprises dans le dépôt du dossier. Et il y en a “beaucoup plus dans le pipeline”, dit Bens.

Selon Van der Wal, quelque 3 000 entreprises sont éligibles au régime fiscal maximal. Parmi ces entreprises, 60 % sont situées dans la province de Gueldre. Selon le ministre sortant, il n’est pas nécessaire que tous les chargeurs de pointe s’arrêtent. Ce serait “très bien” si un cinquième de ces entreprises fermaient leurs portes, soit 600 entreprises.

Les agriculteurs qui ont déposé une demande ne semblent pas en être conscients. Un conseiller de DLV Advice explique à NOS que ces agriculteurs n’attendent pas d’entretien. “Ils n’ont souvent pas encore pris de décision et attendent l’offre.”

Wim Brouwer, président du département LTO Gelderse Vallei, dit qu’il ne connaît personne qui ait souscrit à un programme de rachat, alors qu’il existe de nombreux chargeurs de pointe dans cette région. “Ils peuvent garder le silence, je ne serais pas surpris.”

“Aller dans la bonne direction”

Ce que signifie l’arrêt d’une ferme pour la quantité d’azote déposée sur le sol dépend de l’emplacement de cette ferme. C’est ce que dit Wim de Vries, professeur d’analyse des systèmes environnementaux à l’Université de Wageningen, dans le NOS Radio 1 Journal.

“Si une entreprise est très proche d’une petite réserve naturelle, cela peut vraiment faire la différence.” Mais, selon De Vries, il ne faut pas s’attendre à ce qu’il y ait soudainement « énormément » d’espace d’azote aux Pays-Bas. “Parce que c’est un phénomène local : il n’est pas vrai que cela fera une grande différence dans le nord des Pays-Bas.”

Le fait que 200 agriculteurs se soient inscrits à un programme est “un pas dans la bonne direction”, déclare De Vries. Selon le professeur, il en faut plus pour garantir que les émissions d’azote – selon le plan – soient réduites de 50 % d’ici 2030. “Il y a aussi beaucoup à faire dans la gestion et une technologie différente est nécessaire.”

Nieuwsuur s’est récemment entretenu avec divers agriculteurs du programme de rachat pour les contribuables de pointe. Que signifiera ce règlement ?

Que signifiera le programme de rachat pour les chargeurs de pointe ?

2023-07-14 11:50:42
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