Des conditions pas idéales pour les amateurs de sports nautiques

Es ist eine beeindruckende Bilanz, die die SG Frankfurt ein halbes Jahrhundert nach ihrer Gründung am 16. September 1974 vorweisen kann. 19 Schwimmerinnen und Schwimmer der ältesten Trainings- und Wettkampfgemeinschaft ihrer Art in Deutschland schafften seit 1996 den Sprung zu den Olympischen Spielen, allein neun waren in diesem Sommer in Paris dabei.

56-mal tauchten die Hessen mit Medaillen bei Europa- oder Weltmeisterschaften auf. Die Erfolge, aber auch das Engagement der sieben Mitgliedsvereine in der Jugendarbeit wurden am Freitag bei einer verspäteten Geburtstagsfeier im Römer gewürdigt.

Die Leistungen sind umso höher einzuschätzen, als es keine optimalen Bedingungen für die Wassersportler in der Großstadt am Main gibt. Selbst das aus zehn Schwimmern bestehende Topteam um Olympiasieger Chad le Clos muss regelmäßig Trainingsstunden streichen oder in andere Städte verlegen, weil das eigene Übungsbecken beim Landessportbund Hessen (LSBH) durch Lehrgänge blockiert oder in den Ferien geschlossen wird. Andere SG-Gruppen pendeln durch die Stadt, je nachdem welches Bad gerade im Betrieb und für sie zugänglich ist. Immer wieder fallen Einheiten aus oder können nur sehr kurzfristig festgelegt werden.

Einige der größten Talente haben sich andere Trainingsorte gesucht: OIympia-Silbermedaillengewinner Oliver Klemet krault unter der Aufsicht von Bundestrainer Bernd Berkhahn in Magdeburg, die deutsche Rekordhalterin Anna Elendt genießt ein Stipendium in den USA, EM-Bronzemedaillengewinner Lucas Matzerath hat es gerade nach Australien verschlagen.

Dass die Abwanderer der SG trotzdem treu bleiben, liegt laut Sportdirektor Michael Ulmer nicht an größeren finanziellen Zuschüssen, sondern der Unterstützung, die die Verantwortlichen leisten. „Wir geben unseren Schwimmern ihr ganzes Leben über Hilfestellung“, sagt der Pädagoge.

Que ce soit à la recherche d’un appartement, d’un stage ou d’une bonne voie vers l’avenir. «Nous ne les laissons pas partir, même si les choses ne vont pas très bien.» L’ancienne championne d’Europe et actuelle vice-présidente des sports de compétition de la LSBH, Annika Mehlhorn, qui a quitté Baunatal pour Francfort en 2009, souligne l’importance niveau de professionnalisme du SG et ajoute : « J’ai appris beaucoup de nouvelles choses ici et j’ai acquis une grande famille sportive. »

Selon Ulmer, le fait que des nageurs de haut niveau comme elle ou maintenant Le Clos et d’autres collègues ambitieux d’autres nations soient attirés à Francfort malgré les problèmes d’eau est dû aux entraîneurs. «Ils sont pour nous ce qui compte le plus» et compensent les insuffisances du quotidien. Cette solide performance n’a été possible que grâce à une bonne sélection du personnel d’encadrement au fil des décennies.

Ulmer lui-même n’a rejoint l’équipe de jeunes qu’au début des années 1980 et a longtemps été l’entraîneur influent au bord de la piscine ; Il reste encore aujourd’hui un interlocuteur fiable dans tous les domaines. L’ancien sélectionneur national Dirk Lange occupe le poste d’entraîneur-chef depuis trois ans. «Il vit en nageant 24 heures sur 24», explique Ulmer. Je vis à la base olympique depuis longtemps et je suis toujours très proche de mes athlètes. “Quand ils voient à quel point il est engagé, ils veulent lui rendre quelque chose en retour.”

La situation de l’eau devrait s’améliorer prochainement. Bien que l’école et le centre de formation Goethe-Bad prévus à l’Université des sports de Francfort soient suspendus parce que l’État ne poursuit pas leur construction, le nouveau Rebstockbad pourrait être prêt à être occupé d’ici fin 2027. Le maire Mike Josef (SPD) a préconisé une piscine de 50 mètres.

Ulmer espère que cette « piscine dans la piscine », comme l’appelle Josef, servira à l’avenir de centre d’entraînement central pour ses athlètes. La meilleure équipe resterait au LSBH, également parce qu’il y a une salle de musculation là-bas. Ulmer aimerait diviser les neuf autres groupes en années doubles et donc plus loin, comme dans le football de jeunes. Ce sont encore des visions du futur. Les nageurs doivent être patients et garder la tête hors de l’eau malgré des circonstances défavorables.