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des dessous féminins et masculins réalisés avec des napperons de récupération

des dessous féminins et masculins réalisés avec des napperons de récupération

Elle a réfléchi aux alternatives qui s’offraient à elle. « J’ai pensé…

Elle a réfléchi aux alternatives qui s’offraient à elle. « J’ai pensé dans un premier temps aux rideaux. J’ai essayé d’apprendre à coudre pour confectionner mes culottes. Le résultat n’a pas été à la hauteur de mes espérances. »

L’idée lui est alors venue d’utiliser les napperons hérités de sa grand-mère. « Je suis parvenue à trouver les couturières capables de lui donner forme. » Les premiers résultats ont été concluants et Julie Debove s’est mise à chiner pour trouver cette surprenante matière première.

À cette époque, elle travaillait à Lille, dans le service de communication d’une grande enseigne d’articles de sport. Elle a croisé sur son chemin celui qui est devenu son compagnon et qu’elle a choisi de rejoindre à Anglet. Sans perdre de vue son projet. Elle a du même coup choisi de donner ce nom à sa marque.

Avec la maroquinerie Dema

Une fois au Pays basque, elle a rencontré Nathalie et Angélique Lorsque. La mère et la fille ont développé à Saint-Martin-d’Arrossa, leur propre marque de maroquinerie éco-conçue. « Angélique a une formation de couturière spécialisée dans la lingerie. C’est une vraie chance. », se félicite Julie.

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Vente sur Internet

Napperon ne fait pas de production en série. Elle propose, sur son site, des modèles de culottes, pour femme, mais aussi pour homme et de soutiens-gorge. « On choisit ensuite les napperons que l’on souhaite, en donnant ses références de taille. Napperon se charge de la réalisation. », explique Julie Debove. Il en va de même pour les kimonos, issus de voilages ou nappe récupérés.

Les cartons de napperons et autres articles chinés s’empilent au domicile de Julie Debove. Là où elle travaille à la promotion de Napperon et imagine de nouveaux modèles. « Récemment, j’ai trouvé un stock de 300 kilos de napperons. Ce n’est pas difficile à trouver. Au début, je lavais et repassais moi-même. Ce qui prenait un temps fou. Maintenant, je travaille avec des ESAT (établissement spécialisé d’aide par le travail : NDLR) qui assurent toute cette partie préparatoire. »

Une boutique à Capbreton

Elle a lancé sa marque en septembre 2021, après une campagne de financement participatif. Elle a aussi fait le choix de concevoir des modèles pour hommes. « Au cours d’une séance de photos de nos modèles, avec uniquement des filles comme modèles, j’ai demandé à un copain d’essayer. Il a accepté et a trouvé ça très confortable. Nous avons adapté nos modèles à la morphologie masculine. Depuis, j’ai reçu des commandes d’hommes. »

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