Des Montréalais attaquent des personnes avec du répulsif à ours dans un chalet de la Mauricie, envoyant 17 personnes à l’hôpital.

Des Montréalais attaquent des personnes avec du répulsif à ours dans un chalet de la Mauricie, envoyant 17 personnes à l’hôpital.

Une attaque au répulsif à ours perpétrée par cinq jeunes Montréalais a envoyé 17 personnes à l’hôpital, dont des enfants, dans un chalet familial de la Mauricie lundi soir.

Apparemment, les cinq jeunes hommes âgés de 17 à 21 ans cherchaient à régler un différend avec une autre personne séjournant dans un camp familial à Hérouxville.

Le groupe s’est rendu sur les lieux vers 19 heures et a tenté d’agresser leur victime en l’aspergeant de répulsif à ours, une arme interdite qui provoque une douleur intense aux yeux et aux voies respiratoires.

Il est évident que les suspects n’ont eu aucune considération pour les quinze autres personnes présentes dans la cafétéria, où l’attaque a eu lieu.

Les cinq Montréalais auraient utilisé deux bonbonnes de répulsif à ours lors de l’agression.

Outre le jeune homme visé, pas moins de 16 autres personnes, dont des enfants, ont été incommodées par le gaz irritant et ont dû être transportées à l’hôpital de Shawinigan. Leur état de santé ne semble cependant pas préoccupant.

Peu de temps après, les policiers de la Sûreté du Québec ont arrêté les cinq suspects et ont saisi deux bonbonnes de répulsif à ours.

Lors de son entretien avec les policiers, le jeune homme ciblé par le groupe de Montréalais a refusé de porter plainte.

Les suspects ont été relâchés en attendant la suite de l’enquête.

Il est toutefois possible qu’ils soient accusés de possession d’une arme interdite.

Le motif de l’agression n’a pas encore été déterminé.

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Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (Cédéao) se réuniront jeudi et vendredi au Ghana pour évoquer une possible intervention militaire au Nigerselon un porte-parole de l’organisation.

Cette réunion, qui devait initialement se tenir samedi, avait été repoussée. Elle aura lieu une semaine après la décision prise par les dirigeants de la Cédéao de déployer la “force en attente” de l’organisation pour rétablir dans ses fonctions Mohamed Bazoumle président du Niger renversé par un coup d’État militaire le 26 juillet.

  • 11 h 57 : Vladimir Poutine et le dirigeant malien Assimi Goïta appellent à un règlement pacifique

Le président russe Vladimir Poutine et le dirigeant malien Comme Goita ont discuté de la crise au Niger, a annoncé le Kremlin, et prôné un règlement pacifique de la crise.

Au cours de cet entretien téléphonique, qui a eu lieu “à l’initiative malienne”, Vladimir Poutine et Assimi Goïta ont “souligné l’importance de régler la situation autour de la République du Niger uniquement par des moyens pacifiques politico-diplomatiques”, a précisé la présidence russe dans un communiqué.

  • L’essentiel de la journée du 14 août

Les auteurs du coup d’État au Niger ont annoncé dimanche soir leur intention de “poursuivre” le président renversé Mohamed Bazoum pour “haute trahison” et “atteinte à la sûreté” du pays.

De son côté, la Cédéao a indiqué dans un communiqué que ces menaces de poursuites judiciaires constituent une nouvelle “provocation” des autorités militaires à Niamey.

Sur France 24, le chef de la diplomatie nigérienne, Hassoumi Massoudou, a quant à lui estimé que le président Bazoum était victime d’une “prise d’otage” et d’une “séquestration” mais que la situation était “réversible”.

Avec AFP et Reuters

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