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Des poursuites contre des parents pour avoir infligé des violences à un nourrisson âgé de trois mois.

Des parents poursuivis pour des violences infligées à leur nourrisson de trois mois ont récemment été arrêtés par les autorités françaises. Alors que les détails de cette affaire choquante sont encore en train d’émerger, il est clair que de telles violences infligées à un bébé sont absolument inacceptables. Cette affaire soulève de graves questions sur la protection de l’enfance et les mesures que les autorités peuvent prendre pour protéger les plus vulnérables de notre société. Dans cet article, nous examinons de plus près les détails de cette affaire, les charges qui pèsent sur les parents, et ce que cela pourrait signifier pour l’avenir de la législation française en matière de protection de l’enfance.


Le tribunal correctionnel de Liège a récemment fait face à un cas de violence sur mineur. Une habitante de Soumagne âgée de 25 ans répondait de faits graves, accusée d’avoir infligé des violences graves à son bébé de trois mois. Lors du procès, le parquet a requis une peine de cinq ans de prison assortie d’un sursis probatoire.

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Les faits remontent à janvier 2020, lorsque l’enfant a été admis aux soins intensifs, à la suite de violences importantes. Les blessures du bébé ont démontré qu’il avait été secoué de manière très violente, entraînant des lésions qui ont occasionné un handicap psychomoteur. L’enquête menée à la suite de ces faits a révélé que la mère ne supportait pas les pleurs et les agissements de son bébé. Elle lui avait infligé des coups à diverses reprises, tandis que le père s’était abstenu de porter secours à son enfant.

Une scène de traitement dégradant a également eu lieu alors que le bébé était hospitalisé et venait à peine de quitter les soins intensifs. Énervée par les pleurs de son enfant, la mère a décidé de lui donner la tétine, mais a ensuite couvert sa bouche d’un morceau de scotch, sous le regard d’une infirmière. Alors que l’infirmière s’inquiétait de retirer le bâillon de manière délicate, la mère a décidé de l’arracher sans ménagement.

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Au cours du procès, un expert a révélé que la mère présente une personnalité schizoïde et antisociale, ce qui peut expliquer en partie son comportement. Le parquet a requis une peine de cinq ans de prison assortie d’un sursis probatoire contre elle. Quant au père, il est poursuivi pour non-assistance à personne en danger, ce qui pourrait lui valoir une peine d’un an de prison avec sursis.

La défense de la mère a tenté de plaider pour une peine moins conséquente, tandis que l’avocat du père a demandé son acquittement. L’affaire rappelle l’importance de protéger les enfants et de lutter contre les violences infligées à leur encontre, que ce soit de la part des parents ou d’autres personnes. La justice doit faire preuve de la plus grande fermeté pour que de tels actes ne restent pas impunis.

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