Le gouvernement a présenté sa proposition de vente à la ferme, qui pourrait devenir une réalité au printemps 2025. Avec la saisine du conseil législatif maintenant présentée, il veut permettre l’achat de bière, de vin, de cidre et de spiritueux dans le cadre de visites dans un ferme, culture ou distillerie.
-Parfois, il faut mettre le pied à terre, prendre une décision et faire avancer quelque chose, a déclaré le Premier ministre Ulf Kristersson dans le cadre d’une conférence de presse le 5 juin.
Le gouvernement a présenté sa proposition de vente à la ferme, qui pourrait devenir une réalité au printemps 2025. Avec la saisine du conseil législatif maintenant présentée, il veut permettre l’achat de bière, de vin, de cidre et de spiritueux dans le cadre de visites dans un ferme, culture ou distillerie. Le Premier ministre Ulf Kristersson décrit la proposition comme une réforme de la liberté dans laquelle la Suède devient un peu plus semblable au reste de l’Europe et au ministre des Affaires sociales. Jakob Forssmed (KD) a souligné que le 5 juin est “un bon jour” pour l’industrie hôtelière, la campagne et le peuple suédois. Forssmed a également mentionné que l’enquête sur les ventes agricoles est complexe et que plusieurs organismes de référence avaient des avis contradictoires.
La question principale était de savoir si les ventes agricoles pourraient mettre en danger le monopole suédois de l’alcool. Le défi est qu’une proposition ne peut pas entrer en conflit avec les réglementations de l’UE sur la libre circulation, pour lesquelles la Suède bénéficie actuellement d’une exception pour des raisons de santé publique. Selon la proposition actuellement avancée, les acteurs qui vendent leurs produits alcoolisés devraient facturer l’entrée. Le gouvernement estime donc que les ventes agricoles doivent être considérées comme faisant partie de l’industrie hôtelière et autre chose que le commerce de détail réalisé par Systembolaget. Il estime donc que la proposition ne violerait pas la législation européenne. Environ 600 acteurs seraient concernés si la proposition devenait réalité.
Lina Nordquist (L) a souligné que ceux qui effectuent des ventes agricoles devront également faire preuve d’une certaine forme d’autocontrôle et qu’ils devront informer sur les risques et les effets nocifs. La production maximale de certaines bières et cidres doit également être légèrement inférieure à celle proposée précédemment. La prochaine étape consistera à ce que la proposition soit examinée par la Commission européenne et d’autres États membres afin de vérifier qu’elle n’entre pas en conflit avec les réglementations de l’UE sur la libre circulation.