DHDL : Trois jurés souhaitent un accord avec une startup de kits de couture

Même les mains moites de Tilmann Schulz n’ont pas convaincu le fondateur très contesté. Elle a préféré conclure le marché avec un autre lion. C’est ainsi que cela a continué par la suite.

Il est moelleux, il ne dit pas un mot pendant tout l’épisode et il donne une drôle d’idée à Tilmann Schulz : l’alpaga mâle Finn est probablement le point culminant de l’épisode de Noël DHDL de cette année. Finn est la mascotte à quatre pattes de la startup Cuci Cuci. Au début du discours, il n’a aucune idée que Finn fera partie d’une décision importante. Il marmonne calmement sur quelques buissons de foin dans son enclos.

Avec Cuci Cuci, Tina Calfino réalise un rêve d’enfant. L’Italienne d’origine est fascinée par la couture depuis sa petite enfance. Elle raconte aux lions qu’elle a secrètement essayé la machine à coudre de sa mère lorsqu’elle avait sept ans, ce qui lui a causé beaucoup de problèmes. Le fondateur veut changer cela avec Cuci Cuci, qui selon Calfino se traduit par « sur le point d’aller ». Des kits de couture préfabriqués pour peluches sont destinés à permettre aux enfants de cinq ans et plus de réaliser leurs premiers succès en couture. Pour cela, l’enseignante formée a développé des patrons de couture et de découpe adaptés aux enfants, entièrement basés sur le principe Montessori. Sara, 13 ans, qui soutient Tina sur les réseaux sociaux, montre comment cela fonctionne. « Au final, vous pouvez facilement assembler les différentes pièces sans avoir à les recoudre péniblement », déclare fièrement Sara. Les restes sont introduits dans la tête et le corps de l’animal, il n’y a donc pratiquement aucun déchet. Les peluches Alpaga Anton, le cheval Pepper et la licorne Elly devraient être créées en moins de deux heures. Les patrons de couture sont disponibles en trois niveaux de difficulté et coûtent 39,99 euros dans la boutique en ligne. Ils sont actuellement réduits à 19,99 euros.

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Ce n’est pas sans raison que Tina Calfino a jeté l’alpaga mâle Finn aux lions. Elle propose 20 pour cent et réclame 60 000 euros pour cela. Sa marge est actuellement de 70 pour cent et elle prévoit un chiffre d’affaires annuel de 550 000 euros en 2024. D’ici 2025, elle aimerait tripler ce chiffre et viser un chiffre d’affaires de 1,6 million d’euros. Pour maîtriser cette croissance, elle a besoin de l’aide des lions. Nils Glagau estime cependant que le produit est trop spécialisé et qu’une telle croissance est donc impossible. Dagmar Wöhrl se prononce également contre un accord. Tilmann Schulz, Ralf Dümmel et Judith Williams, en revanche, sont enthousiastes et souhaitent nous rejoindre. Mais personne ne veut être le premier à proposer un accord.

Cela donne une idée au juré Schulz : tous les trois se dirigent vers l’alpaga mâle Finn avec un panier de nourriture rempli de foin. C’est désormais à Finn de décider de l’ordre des offres. Il choisit le panier de foin du juré Tilmann Schulz. Puisque Schulz veut être le dernier à soumissionner, le concurrent Dümmel devrait commencer. Il argumente avec son expertise en matière de trading et conclurait l’accord de Calfino. Judith Williams estime également que 60 000 euros pour 20 pour cent est juste. Elle veut convaincre la fondatrice grâce à sa portée sur les réseaux sociaux et affirme en même temps qu’elle considère Cuci Cuci comme une excellente alternative pour les enfants à la consommation quotidienne du téléphone portable. Maintenant, tout dépend de Tilmann Schulz. Il accepterait également l’accord de Calfino tel quel. « J’ai moi-même deux enfants de cinq et trois ans, qui fréquentent tous deux une école maternelle Montessori », explique la femme de 35 ans. «Cela pourrait être nos enfants tests», dit-il. Mais cela ne suffit pas : Lion Schulz court en avant et montre ses mains à Calfino, l’obligeant même à les toucher : « Touche mes mains, tu as réussi à les mouiller.

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Au final, malgré ses mains moites, cela n’a pas suffi à Tilmann Schulz. Calfino choisit Ralf Dümmel par sympathie. Lui, à son tour, s’avance rayonnant de joie et fait quelques tours d’honneur, bras dessus bras dessous avec le fondateur. Alpaka Finn ne les regarde qu’avec scepticisme.

En fin de compte, Calfino quitte la série avec un accord – sans avoir à négocier. Alors, a-t-elle demandé trop peu ? « Non, en plus de l’argent, j’ai aussi besoin de l’expérience, du savoir-faire, de l’expertise, des bons canaux, du réseau et des contacts ainsi que d’un partenaire stratégique. Les lions apportent ces caractéristiques avec eux. Mais j’ai surtout besoin d’accompagnement dans la production, la vente et le marketing », explique le fondateur. Après DHDL, elle souhaite favoriser la croissance, faire mieux connaître la marque et gagner plus de parts de marché à long terme. « L’entreprise devrait réussir sur les marchés nouveaux et existants. Grâce à de nouvelles idées, de meilleures expériences client et davantage de produits, l’entreprise devrait continuer à croître et à fidéliser ses clients à long terme », déclare Calfino.