DIIE HISTORY OF THE PORCELAIN en Europe: Exposition à Vienne

Die vorderen Füße der Standuhr bilden chinesisch stilisierte Shishi-Löwen. Auf ihnen reiten sehr europäische Putten. Darüber wiederum winden sich Drachen, einer bleckt die Zähne und hält die linke Pranke hoch, weniger, als wolle er zuschlagen, sondern wie zu einem neckischen Gruß. Entstanden ist die filigrane Arbeit aus Porzellan im Jahr 1725 in Wien. Da war die Kunst, das „weiße Gold“ selbst herzustellen, in Europa keine zwei Jahrzehnte alt.

Das seltene Stück ist gerade für kurze Zeit öffentlich zu bewundern. Im Gartenpalais Liechtenstein ist bis 30. März die Sonderausstellung „Wunder und Wissenschaft. Porzellan und Sammellust im barocken Wien“ zu sehen. Die Standuhr ist eine Leihgabe aus einer privaten Sammlung aus Turin. Aber für die meisten Stücke mussten die Ausstellungsmacher nicht lange suchen, sie stammen aus der Sammlung des Fürstenhauses Liechtenstein. Den Grundstein gelegt hat Fürst Joseph Wenzel, im 18. Jahrhundert kaiserlicher General und Diplomat, Mäzen und Sammler. Für das Porzellan musste er nicht weit gehen. Die Wiener Manufaktur des Unternehmers Claudius Innocentius du Paquier befand sich gleich nebenan. Nicht von ungefähr liegt das Gartenpalais heute zwischen Liechtensteinstraße und Porzellangasse.

La fondation du Du Paquier Manufaktur est un exemple classique de l’espionnage industriel financé par l’État grâce à des salaires hostiles des employés. Dans ce cas du Meißen Manufaktur, dans lequel la première porcelaine européenne est fabriquée depuis 1708. L’envoyé autrichien de Dresde a offert au maître senior Samuel Stöltzel un salaire annuel de mille guildeurs plus appartements et équipements. Cette (et une affaire sur une grossesse illégitime) Stöltzel était suffisante pour déménager à Vienne et y offrir son expertise pour le développement de la deuxième installation européenne de production de la porcelaine. Jusque-là, les produits de luxe précieux et fragiles avaient été difficiles à atteindre l’Europe sur la route de la soie ou sur la route maritime de “l’est de l’Inde”, c’est-à-dire la Chine.

Vous pouvez le découvrir dans la petite exposition viennoise. Vous pouvez voir des échantillons des premières années, également quelques exemples des modèles chinois. Les images pétrolières de navires marchands fournissent un contexte, expliquent les pétales de Naschwerk que les premiers sculpters et peintres de la porcelaine Wiener Sugar Bäcker étaient qui avaient appris à créer des œuvres d’art comestibles comme des décorations de table exquises pour les balles et la fête.

La porcelaine viennoise diffère par rapport aux autres productions contemporaines par “la gaieté, la gaieté, l’esprit et l’optimisme”, explique Stephan Koja, directeur des collections du Liechtenstein. Aucun matériel ne représente tant pour l’esprit du XVIIIe siècle, pour la joie de vive perçue après les décennies guerrières plus tôt, qui ont trouvé leur point culminant pour la ville principale et résidence impériale dans la soi-disant couverture turque de 1683. Après cela, il y avait encore des guerres, mais ils ne jouaient plus dans un tel notable à proximité.

Mais il y a aussi des raisons plus tangibles pour lesquelles la porcelaine en Europe a gardé sa marche triomphale à l’époque. La compréhension scientifique croissante et l’innovation technique; l’esprit du mercantilisme pour fabriquer des produits dans votre propre pays; Et enfin et surtout, le succès des boissons chaudes “exotiques” telles que le thé, le café et le chocolat. Des navires appropriés sont nécessaires pour consommer de tels délices exquis.

L’exposition offre la rare opportunité de voir le palais du jardin de l’intérieur, et cela trop gratuitement. Si vous voulez le mettre un peu dessus, il est recommandé de réserver une visite de la galerie de peinture à l’étage supérieur. Et comme le palais est un peu loin des sentiers touristiques, les visiteurs peuvent le combiner avec une vue sur l’escalier Strudlhof à proximité – et avec une pause dans le parc du palais.