2024-12-26 19:30:00
Die maßgebliche Arena dieser Auseinandersetzung ist das Arbeitsrecht, nicht das Humanum oder die Metaphysik. Daran gilt es zu erinnern, wenn in der Onlinepetition für den Verbleib des Freiburger Domkapellmeisters in seinem Amt von einer „Mission“ die Rede ist (domkantorei-fr.de): „Unsere Mission ist es, die Kündigung von Professor Boris Böhmann rückgängig zu machen.“
Missionarische Lobbyarbeit sollte nicht versuchen, eine kompetente juristische Aufstellung zu kompensieren. Um die geht es im Zweifel auch hier. Lässt sich der für Ende Februar gekündigte Domkapellmeister, mutmaßlich eine künstlerische, das Juristische auch in eigener Sache scheuende Natur, lässt sich Boris Böhmann womöglich im Schlafwagen aus Amt und Würden fahren?
Ist seine ohne zweite Meinung verfolgte juristische Strategie gegen den Rausschmiss, die bislang beim Arbeitsgericht nicht verfing, die richtige, wenn sich doch alle Arbeitsbereiche, denen er an der Freiburger Kathedrale vorsteht, mit ihm solidarisieren: Domsingknaben, Domchor, Domkapelle, Choralschola? Zumal keine Gründe genannt werden, die bei dieser eminenten Beliebtheitslage des Chorleiters eine Kündigung als „Ultima Ratio“ fürs allgemeine Verständnis zwingend machen – also als letzten Ausweg, von dem die Kirchenleitung spricht, nähere Erläuterung mit Datenschutzgründen verweigernd.
En fait, l’archidiocèse s’est replié dans une position de communication impossible. Nous agissons, mais ne disons pas pourquoi – ce n’est en fait pas une option pour un archevêque en temps synodal. Stephan Burger souhaite-t-il revenir à l’image révérende d’un chef d’Église qui n’a soi-disant pas besoin de trouver un langage capable de s’expliquer sans violer les obligations légales de secret ?
Le simple fait de faire savoir aux personnes en colère de son archidiocèse qu’aucune allégation d’abus sexuels ou d’autres actes invasifs ne joue un rôle semble être une démonstration de grâce destinée à éviter l’obligation de fournir des raisons. Pas d’abus, disent-ils gracieusement, mais des « dissonances », qui, là encore, font apparemment référence à des conflits avec le chantre de la cathédrale au sujet de chevauchements de responsabilités.
Avec sa politique d’information énigmatique, Burger augmente les dégâts qu’il prétend réparer. Essayer d’ignorer la protestation insubordonnée pro-Böhmann lors de la messe de Noël avec un « Prions » dans lequel la bénédiction finale de l’archevêque était accompagnée de rires moqueurs – cela ne suffit pas.
#Dissonances #autour #directeur #musical #cathédrale #larchidiocèse #Fribourg
1735240364