Céline Dion à mi-hauteur de la Tour Eiffel chantant Hymne à l’amour, le morceau favori du public français, ça ne pouvait pas être plus mémorable que ça, n’est-ce pas ?
Eh bien, oui. Oui, c’est possible et c’est ce qui s’est passé.
Les 16 jours des Jeux de Paris 2024 ont été riches en drames humains, en sites emblématiques, historiques et envoûtants de la capitale française, en mélanges de sports et de célébrités dont nous ne savions pas avoir besoin, le tout accompagné d’une bande-son d’hymnes parfaitement choisis qui unissent les fans et les athlètes.
Ces Jeux Olympiques avaient tout pour plaire, et y ont ajouté encore plus.
Alors, par où commencer ? Avec le tap, tap, tap des trois coups, peut-être.
L’ajout culturellement riche de ces Jeux représente le moment du théâtre classique français où quelqu’un donne trois coups sur le sol de la scène avec un bâton, juste avant le début d’une représentation, pour attirer l’attention du public au lever du rideau.
Transférée sur la scène sportive, l’introduction dramatique a été adoptée sur les sites olympiques à travers Paris, enrôlant des icônes du sport pour ouvrir les débats.
Tony Hawk à La Concorde pour les hommes skateboardl’ancien joueur de la NBA Carmelo Anthony pour l’équipe masculine basket-ballBillie Jean King à Roland Garros, et euh, Snoop Dogg présentant rupture pour ses débuts olympiques.
Nous reviendrons plus tard sur le parrain olympique.
Une fois l’attention des fans attirée, un somptueux festin de drame sportif a commencé.