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Du rose au jaune et au rouge, par Juan Cruz

Du rose au jaune et au rouge, par Juan Cruz

2024-01-08 00:34:19

Il y a eu un jeu du Barça, celui avec le deuxième but hier soir à Basbastro, dans lequel il semblait que l’équipe habillée en jaune allait vivre un match rose et il s’est avéré qu’en réalité, ils ont eu un match dramatique qui presque fini rouge aux azulgranas.

Soit le Barça l’a interprété comme un match d’entraînement à Barbastro, soit il n’a pas réalisé que les matchs durent quatre-vingt-dix minutes, voire plus, et qu’il est inévitable qu’un gardien joue, par exemple, et dix autres dans l’équipe adverse.

Ce merveilleux but qu’il a marqué Raphinha, prédisait une nuit paradisiaque pour l’équipe du Barça, et d’ailleurs ce chroniqueur l’avait écrit comme titre de cette chronique d’une victoire annoncée. J’ai écrit dans ma tête, pour le mettre plus tard sur ce papier : Un but de tout le Barça.

Parce qu’en effet, l’équipe s’est réunie, une à une, pour qu’à la fin il y ait eu ce but qui a été marqué Raphinha comme conséquence heureuse d’un autre, individuel cette fois, aux pieds du très solvable (le meilleur de la nuit dernière, avec De Jong) Fermín.

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Atroce et dangereux

Mais je ne sais pas ce qui s’est passé dans la deuxième partie, quel mauvais sort cela a été pour Xavi et son équipe, que le match a fini par être angoissant et dangereux, avec la circonstance aggravante que l’agonie a pleinement affecté l’entraîneur du Barça, qui a quitté le terrain rival avec le sentiment d’être parmi les arbitres criminels, alors que ce dernier le faisait s’occuper de lui. qu’il valait mieux protester auprès du maître armurier.

C’était un mauvais et un bon match à la fois, des deux côtés ; Eh bien, Barbastro n’était pas une équipe en première mi-temps, tandis que le Barça a montré que la vitesse n’est pas incompatible avec l’imagination, alors ils l’ont mis en mouvement comme pour inaugurer une nouvelle façon d’être, plus joyeuse, moins rancunière.

Quand les choses allaient mal pour le Barça, la nervosité a causé tellement de malheurs que j’ai dû éteindre le transistor au cas où la mauvaise situation du match serait l’affaire des commentateurs, de plus en plus intéressés à montrer qu’ils savent que le Barça ne peut pas être fixé et, en outre, ils auraient eux-mêmes les moyens de résoudre la crise.

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Avec leurs culs en l’air

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L’entrée de LewandowskiC’était surtout un exercice d’autocritique de la part de l’entraîneur, mais aussi une sorte de drapeau blanc qui avertissait Barbastro que la vie était sérieuse. Toute l’équipe, celle qui était sur le terrain, a frissonné de peur lorsque, dans la dernière pirouette, la décisive, un penalty a mis dans la gorge des Aragonais le sentiment que crier est un demi-but dans la dernière minute.

Alfredo Relaño Il sait que cette dernière minute comme dernière partie de la phrase du match est exclusive au Madrid, mais Barbastro a envisagé la possibilité d’un tel degré et il semblait que les tribunes elles-mêmes allaient marquer le but. Ce n’était pas possible, mais cela faisait ressortir les couleurs de Barcelone, qui allaient du jaune au rouge comme une tomate, y compris Lewandowski. Le Barça a gagné mais Barbastro les a laissés, excusez-moi, les fesses en l’air.



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