Éditorial pour la newsletter World Economy

C’est ainsi que les choses se sont déroulées ces derniers jours. Non seulement l’Assemblée générale des Nations Unies s’est réunie à New York. Même avant cela, le président Joe Biden et les Premiers ministres de l’Inde, du Japon et de l’Australie ont accru la pression sur la Chine lors du sommet de leur alliance stratégique Quad. Mais la plus grande réponse a été la drastique Modification des taux d’intérêt de la Réserve fédérale américaineDans ce numéro, nous retraçons les conséquences à travers le monde : Pékin a réagi avec un « quadruple boom ». Il serait bénéfique pour le monde entier que la dictature du parti parvienne à stabiliser d’abord son marché immobilier, puis son taux de croissance.

Néanmoins, les entrepreneurs sont obligés de Alternatives à la Chine Il faut regarder autour de soi. Ils ne quitteront pas la République populaire, mais se tourneront vers d’autres destinations d’investissement. En tête de liste : les pays d’Asie du Sud-Est. Le vétéran des économistes allemands du développement, Rolf J. Langhammer, dissipe dans sa grande analyse les illusions sur la région ASEAN. Mais il vaut aussi la peine de regarder dans la direction opposée : si le gouvernement de Berlin rejette un investisseur chinois parce que la cible allemande de rachat est d’importance systémique, les vagues seront fortes. Ce qui est moins remarqué, c’est que les entreprises chinoises continuent de se voir offrir un accès très libre à l’Allemagne et à l’Europe. La Hongrie est très populaire à cet égard.

Mais en fin de compte, la future présidente ou le président Trump influenceront la direction que prendront les entreprises chinoises, par exemple en franchissant le mur douanier. On peut, comme le fait maintenant le ministère des Affaires étrangères dans ses canaux officiels, se moquer des bêtises de Trump, s’indigner de ses mensonges et hocher la tête devant ses menaces, comme le rachat d’icônes industrielles allemandes. Mais il est plus important de le comprendre autant que possible.

Désormais, nous vous fournirons chaque semaine des informations de fond dans une rubrique séparée jusqu’après les élections : nous serons soutenus sur place par nos deux correspondants américains de longue date, Winand von Petersdorff et Roland Lindner, et depuis Francfort, entre autres, par l’ancien rédacteur en chef des affaires étrangères du Frankfurter Allgemeine Zeitung, Klaus-Dieter Frankenberger.

La scientifique Sara Bazoobandi montre la profondeur de l’analyse de nos experts : elle décrit en détail les Rôle du nouveau président de l’Iran, Massoud Peseschkian. Et ce faisant, il détruit les espoirs de l’Occident.

En raison du jour férié, la newsletter de la FAZ PRO Weltwirtschaft ne paraîtra pas jeudi prochain. Vous trouverez des informations de fond sur notre site Internet jusqu’au prochain numéro, le 10 octobre. Vous pouvez également nous suivre sur Linkedin.

Et : N’hésitez pas à nous écrire à [email protected] et à nous dire ce que nous pouvons faire mieux.

Mais surtout : restez calme !

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