Eintracht Francfurt avant le match contre le FC Bayern Munich: temps pour quelque chose de nouveau!

Wer hat schon gerne Liebeskummer? Wer an einem gebrochenen Herzen leidet, sorgt sich um die Zukunft und verliert seine Ziele aus dem Blick. 12,4 Monate hält diese Phase durchschnittlich an, nachdem sich zwei Menschen getrennt haben, stand kürzlich in einer Studie. Wie Mannschaften im Profisport den Verlust ihres wichtigsten Spielers verarbeiten, ist bisher nicht erforscht.

Empiriker der Goethe-Universität hätten aktuell vor der Haustür wunderbares Anschauungsmaterial: Vor vier Wochen packte Omar Marmoush seine Sachen und zog davon, in eine fremde Stadt namens Manchester. In einer ersten Phase der Leugnung, wie Liebesanalysten sagen würden, gewann die Eintracht ohne ihn gegen Budapest und Dortmund. Dann hakte es, dreimal spielte sie in der Liga unentschieden gegen Gegner, die sie mit ihrem Herzstück in der Hinrunde deutlich besiegt hatte.

Und immer wieder, erbarmungslos, kam die Rede auf Marmoush. Entweder fragten Reporter nach oder Trainer Dino Toppmöller wollte sich selbst rechtfertigen: Wie sollte es einfach so weitergehen, wenn man einen Spieler, der „die halbe Liga auseinander schoss“ (Zitat Toppmöller), verliert? Als Marmoush am Wochenende seine ersten Tore für Manchester City schoss, gratulierte ihm die halbe Eintracht-Mannschaft per Instagram-Post. Ein Neuanfang sieht anders aus.

«Nous sommes tous heureux pour lui. Mais c’est à propos de nous maintenant. Peut-être que nous le reverrons en Ligue des champions la saison prochaine », a déclaré Hugo Larsson après le match lorsqu’il a été interrogé sur les buts de Marmoush. Il semblait presque que Eintracht était déjà au-dessus de Marmoush. En tout cas, c’était sur la place: les deux premiers buts ont marqué les Francfurters à travers des variantes intelligentes. Ils ont réussi à confondre la défensive de Kiel jusqu’à ce qu’un joueur Eintracht soit libre à l’arrière de son joueur le plus à l’extérieur. Il a ensuite eu un match facile à frapper sans contrôle. D’abord Larsson, puis Tuta.

“Nous ne donnons pas la troisième place”, a déclaré Larsson après le match. Il y a cinq points à Leipzig, six sur Freiburg. Le Sports Club a six points de retard à la cinquième place qui n’a plus le droit de participer à la Ligue des champions. Freiburg a également la différence de buts beaucoup plus faible que les Francfurters. L’essentiel est que l’Eintracht devrait perdre deux fois sans être suivi.

Trois mois avant la fin de la saison, elle peut bien utiliser ce Joker. Dimanche, le Francfurter à Munich (17 h 30 dans le Faz Live Ticker pour la Bundesliga et à Dazn), samedi contre Leverkusen (18 h 30 dans le ticker Faz Live à la Bundesliga et à Sky). Ensuite, il sera plus susceptible de montrer à quel point la finition de Marmoush se trouve dans la tête et dans les jambes. Kiel a joué comment une équipe de deuxième division a fait en coupe. Sosé rarement d’appuyer sur le tableau du dix-septième – et si oui, alors isolé et non systématique.

Au milieu de terrain, les salles de Francfort, qui seraient également frappantes un dimanche après-midi dans d’autres ligues de cette république. Les vrais défis attendent donc contre les premier et deuxième. “Dans la première moitié de la saison contre le Bayern, nous avons déjà montré que nous avons les armes pour les blesser dans le jeu de commutation”, a déclaré Topmöller. À cette époque, le rythme élevé de l’offensive de Francfort a été particulièrement difficile pour les Munich. Son équipe, a déclaré que Topmöller, voulait être l’une des meilleures équipes.

Thèse: Si vous voulez jouer en Ligue des champions, vous devez également vous soutenir contre les équipes de la Ligue des champions. Les Francfurters ont réussi à quelques reprises cette saison, comme Munich ou Leverkusen. D’un autre côté: contre Leipzig, Eintracht a regardé deux fois, également contre les deux seuls adversaires sérieux de la Ligue Europa, Rome et Lyon. Les deux matchs dans les semaines à venir deviendront un grand test si Eintracht est vraiment ce que ce serait si heureux: une équipe de haut niveau.

Larsson: «Nous sommes invaincus cette année dans la Bundesliga. Nous voulons également voler des points à Munich et contre Leverkusen. Les Francfurters continuent de laisser le ballon courir dans leurs rangs si proprement et parfaitement que tôt ou tard, l’adversaire devient fatigué et fait des erreurs. Ils tirent récemment des portes moins à travers des actions individuelles que que leurs joueurs rencontrent des pièces dangereuses, par exemple sur le deuxième poste.

D’un autre côté: Munich et Leverkusen jouent dans leur propre ligue cette saison, cela non seulement est connu depuis leur duel samedi. Le directeur des sports d’Eintracht, Markus Krösche, a ri quand on lui a demandé si son club voulait attaquer à nouveau. Nous? Non, nous devrions voir que nous gardons la distance. Il ne semblait pas penser à un passé. Soit dit en passant, la réorientation suit le chagrin dans la théorie du deuil. Les Francfurters ont des objectifs – et ils n’ont pas une année entière de toute façon. Munich et Leverkusen montrent s’ils ont été suffisants depuis quatre semaines pour se lever.