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Elon Musk a nié s’intéresser à l’acquisition de la branche américaine de Tiktok, rejetant les spéculations formulées lors d’un forum organisé fin janvier en Allemagne.
“Je n’ai pas fait d’offre pour Tiktok, et je n’ai aucun projet sur ce que je ferais si je possédais Tiktok”, a-t-il déclaré.
Ces mots, publiés pendant le week-end, clarifient sa position tandis que la plate-forme de médias sociaux chinois fait l’objet d’un examen méticuleux aux États-Unis.
Les États-Unis ont en effet adopté une loi obligeant son propriétaire chinois, Bytedance, à se désinvestir sous la peine d’être interdite.
Alors que le président Donald Trump a proposé à Musk de l’acheter, ce dernier a rejeté l’idée en déclarant: “Je n’utilise pas Tiktok personnellement, donc je ne connais pas très bien le site”.
Musk, qui a acheté X, anciennement Twitter, pour 44 milliards de dollars, fait face à des critiques de la montée des discours de haine sur la plate-forme.
Grand partisan de Trump, il dirige la réduction de l’administration de l’initiative de réduction du budget, le ministère de l’efficacité du gouvernement (DOGE), qui se concentre sur les agences fédérales. Un juge a récemment empêché son équipe d’accéder aux données du département du Trésor.
Elon Musk a également condamné les programmes de diversité, d’équité et d’inclusion (DEI). “Dei n’est rien de plus que le racisme sous une nouvelle forme”, a-t-il déclaré. L’administration Trump s’efforce de démanteler les initiatives DEI.
En Allemagne, Musk a été confronté à des réactions négatives pour soutenir le parti AFD lointain, suscitant des préoccupations compte tenu de l’histoire du pays
* Traduit de l’anglais par Mourad Belhaj
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