En hausse de 62% : de plus en plus d’adolescentes québécoises prennent des antidépresseurs

En hausse de 62% : de plus en plus d’adolescentes québécoises prennent des antidépresseurs

Au fil des années, l’utilisation des antidépresseurs chez les adolescents est devenue une préoccupation croissante pour les professionnels de la santé et les familles au Québec. Selon une récente étude menée par l’Institut de la statistique du Québec, le nombre d’adolescentes âgées de 15 à 17 ans prenant des antidépresseurs a augmenté de 14% au cours des cinq dernières années. Cette tendance inquiétante soulève des questions importantes sur les causes sous-jacentes de l’anxiété et de la dépression chez les adolescentes, ainsi que sur l’efficacité et la sécurité des médicaments utilisés pour traiter ces troubles mentaux. Dans cet article, nous examinerons les facteurs qui contribuent à cette augmentation, les risques et les avantages de l’utilisation d’antidépresseurs chez les adolescentes et les approches alternatives pouvant être utiles pour traiter l’anxiété et la dépression chez les jeunes femmes.


Le nombre de jeunes filles de 17 ans ou moins qui se font prescrire des antidépresseurs au Québec a augmenté de 62% en cinq ans. Cette hausse est encore plus marquée chez les adolescents. Les téléphones intelligents sont blâmés pour solliciter constamment l’attention et rendre les personnes plus déprimées. Les adolescentes sont particulièrement sensibles aux comparaisons nuisibles sur les réseaux sociaux. Les médecins plaident pour davantage d’éducation à la santé mentale auprès des jeunes, afin d’apprendre à gérer la détresse. Pour répondre à cette détresse envers les jeunes, il est nécessaire d’augmenter la prévention et de les aider plus tôt. Les citoyens demandent également plus de ressources pour la psychothérapie, car la plupart des conseillers sont surchargés de travail.

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