En Lombardie, la moitié des candidats se présentent à l’examen de médecine générale. Un quart d’entre eux sont déjà médecins à l’hôpital

278 des 566 participants inscrits ont passé le test. Et il y a ceux qui considèrent la médecine de base comme une deuxième partie de leur carrière.

Plus de femmes que d’hommes ont l’intention d’ouvrir une clinique : 179 contre 99 lors du processus de sélection. Une tendance qui reflète la tendance nationale. Selon le dernier bilan de l’Enpam, l’organisme de sécurité sociale de la catégorie, il y a aujourd’hui plus de femmes médecins actives que leurs collègues masculins. De nombreuses blouses blanches se sont également présentées à Assago pour évaluer la médecine générale comme deuxième volet du parcours professionnel. Soixante candidats étaient âgés de 40 à 49 ans, 23 avaient la cinquantaine et deux avaient déjà plus de 60 ans (toutes deux des femmes). Tout bien considéré, un aspirant stagiaire sur quatre est actuellement un employé d’hôpital et les deux tiers d’entre eux travaillent en chirurgie, en médecine ou aux urgences. Dans une moindre mesure, il existe également des médecins expérimentés en soins intensifs, en oncologie ou en réadaptation.

Les cours débuteront dans les centres de formation qui font partie des hôpitaux de Lombardie d’ici décembre. Le programme comprend 1 600 heures de cours théoriques et 3 200 heures d’activités pratiques. Le salaire mensuel attendu est d’environ 900 euros, soit près de la moitié de celui des confrères spécialistes. Dès la première année donc, les étudiants pourront travailler en clinique, sous la supervision d’un tuteur. Une mesure mise en place par la Région pour répondre à la pénurie de médecins de famille dans la région.

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