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En niant la libération de Daniel Silveira, Alexandre de…

by Nouvelles

La période de libération conditionnelle de l’ancien député a été courte Daniel Silveira. Libéré le 20, après avoir purgé 1/3 de sa peine, il a réintégré le régime fermé la veille de Noël, sur ordre du ministre du Tribunal supérieur fédéral (STF), Alexandre de Moraes. La raison : le non-respect des règles de collecte de nuit. La défense de Silveira a déposé un recours pour qu’il retrouve une liberté contrôlée, mais Moraes a rejeté cette demande vendredi (27). L’ancien député doit passer la nouvelle année en prison.

« Seules une mauvaise foi absolue ou une méconnaissance regrettable du droit de la procédure pénale peuvent justifier les allégations de la défense. Cette même restriction judiciaire (Interdiction de s’absenter du District et obligation de rentrer chez elle la nuit, de 22 heures à 6 heures du matin, ainsi que les samedis, dimanches et jours fériés), a été récemment déterminée dans plus de 1 100 cas liés à des délits de 8/1, qui ont tous été pleinement observés et sans aucune confusion de compréhension », a soutenu le ministre STF.

La défense nie que le client ait violé les mesures de précaution pendant sa libération conditionnelle. Vendredi, le ministre a donné 48 heures à l’ancien parlementaire pour expliquer pourquoi il s’est absenté de chez lui pendant environ 10 heures et s’est même rendu dans un centre commercial de Petrópolis (RJ), dimanche dernier (22). Dans la déclaration envoyée à la Cour suprême, les avocats ont affirmé que la décision du ministre qui établissait l’obligation de se retirer la nuit n’interdisait pas à Silveira de quitter la maison pendant la journée. Selon le ministre, samedi, Silveira Je n’aurais même pas pu quitter la maison.

La défense a déclaré qu’il y avait une erreur de syntaxe dans la préparation de la décision de Moraes. Dans le document, il est écrit que Daniel Silveira avait l’interdiction de quitter le quartier et avait l’obligation de rentrer chez lui la nuit, de 22 heures à 6 heures du matin, ainsi que les samedis, dimanches et jours fériés. Moraes a déclaré que les mesures étaient extrêmement claires : « Seule une mauvaise foi absolue ou une méconnaissance regrettable de la législation en matière de procédure pénale peuvent justifier les allégations de la défense. » L’ancien député porte un bracelet électronique à la cheville et fait surveiller ses pas.

Menaces contre les ministres

En 2023, l’ancien député a été condamné par le STF à huit ans et neuf mois de prison pour les délits de tentative d’empêcher le libre exercice des pouvoirs et de coercition au cours du processus en proférant des insultes et des menaces contre les ministres de la Cour.

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