Salut, qui es-tu ? Parlez-nous un peu de vous…
Je suis né dans le berceau entre les lacs d’Orta et Maggiore, un lieu qui, par sa beauté, m’a toujours profondément inspiré, entrant à juste titre dans certains de mes romans. J’ai commencé à écrire des contes illustrés à neuf ans et cette passion ne m’a jamais abandonné. Il y a treize ans, j’ai décidé d’en faire quelque chose de sérieux, de m’essayer à l’écriture de romans et de participer à des concours littéraires. Écrire m’a toujours rendu heureux, c’est devenu peu à peu une nécessité et sa pleine compréhension m’a conduit vers un tournant. Quand j’ai commencé à recevoir la première reconnaissance littéraire, j’ai eu la confirmation que j’étais sur la bonne voie
rue. J’ai remporté la publication d’une nouvelle puis de mon premier roman en 2017 et je n’ai pas arrêté depuis. Mon septième roman est sorti le mois dernier.
Comment vous définiriez-vous comme autriuce, mais avec seulement 3 adjectifs ?
Je me définirais comme un auteur éclectique, curieux et anticonformiste.
Qu’avez-vous écrit et à quel genre ne vous essayeriez-vous jamais ?
Je n’aime pas cataloguer ce que j’écris, dans chacun de mes romans plusieurs genres se mélangent et différents thèmes sont traités. Voulant donner un aperçu de mes romans, en définissant leur sujet, je dirais que TOUS EN SILENCE est un roman qui fait un pas dans le monde spirituel, L’AUTRE SOI a de fortes notes de science-fiction, COMME DES TABLEAUX DANS LES FENÊTRES traite du thème de d’amitié et de démence sénile, MULTIVERSE est un voyage astral pour retrouver l’origine de nous-mêmes, FIAMME est un hymne à la renaissance, TWO IN ONE est le champion de toutes les formes d’amour, THE KEY WORDS est un scénario apocalyptique ordinaire. Je ne fixe pas de limites à ce que je pourrais écrire, je reste ouvert à tout type d’inspiration.
Quel genre de lecteur es-tu ? Vous inspirez-vous de vos lectures pour écrire ?
J’ai toujours beaucoup lu, les histoires me fascinent, surtout les moins évidentes, avec des rebondissements ou des mystères, comme celles de Guillaume Musso, Dan Brown ou Glenn Cooper, mais j’aime aussi le fantastique d’Ende, le thriller de Faletti, Stephen King, le social la dénonciation de Khaled Hosseini, les quatre mains de Fruttero et Lucentini, la profonde légèreté d’Enrico Galiano, les fouilles intérieures de Kundera. Tous genres différents, encore une fois j’ose laisser toutes les portes ouvertes, car c’est stimulant de déambuler et de ne pas se fossiliser, en prenant en compte toutes les perspectives. Chacun d’eux m’a marqué et, forcément, a enrichi mon écriture.
Dans vos écrits, vous reflètez-vous d’une manière ou d’une autre dans vos protagonistes ?
Les protagonistes de mes romans sont des morceaux de moi, de toutes les personnes que j’ai connues et de toutes celles que j’ai imaginées, ce sont des patchworks, habilement cousus pour donner de la visibilité aux nombreuses parties de l’âme humaine.
Avez-vous publié avec une maison d’édition ou vous-même ? Pourquoi?
J’ai publié grâce à des concours littéraires gagnants, je fais partie de la famille Pegasus Edition depuis des années maintenant. Je ne condamne ni ne juge ceux qui font des selfies, mais cela n’a jamais été le chemin que j’ai voulu prendre, j’ai toujours pensé que je devais mériter d’être publié, que quelqu’un devait décréter mon talent. Après quelques huis clos, j’ai trouvé quelqu’un qui a cru en moi et ma persévérance a été récompensée. Je conseille à tous ceux qui rêvent de devenir écrivain de ne jamais abandonner, car en travaillant dur, on peut démontrer à quel point le pouvoir est un désir.
J’aime:
J’aime Chargement…
En rapport
Navigation dans les articles
#Entretien #avec #lauteur #Daniela #Nolli #lauréate #quatrième #concours #CHASSE #LINCIPIT #communauté #littéraire #Inchiostri #inVISIBILI #Spazio #dEly #Gocce #Rugiada #Alessandria #Today #Italia #News #Media