L’agriculture biologique dans l’UE n’a cessé d’augmenter depuis 2012 et s’étendait sur un million d’hectares en 2020, représentant 9,1 % de la surface agricole utilisée (SAU).
Tableau de bord (Tableau)
16 déc. 2022
Ce visualiseur présente l’impact combiné sur la santé de la pollution de l’air et du bruit de la circulation routière à une résolution de 1 km x 1 km dans les villes où les données sont disponibles. L’impact de la pollution de l’air est mesuré en termes de mortalité et l’impact de la pollution sonore routière est mesuré en termes de nuisance élevée à long terme. Le visualiseur est basé sur les données soumises en vertu de la directive sur le bruit dans l’environnement et de la directive sur la qualité de l’air et représente la situation en 2017.
La carte donne un aperçu des régions et sous-régions de la directive-cadre sur la stratégie pour le milieu marin (DCSMM) qui ont atteint un bon état écologique (GES) pour le descripteur 8, caractéristiques des contaminants (substances UPBT), résultant de l’art. 8 exercice de rapport. La carte est extraite du tableau de bord « Reporting 2018 MSFD Article 8 – évaluation du bon état environnemental (GES) par pays ou région/sous-région marine », à l’exclusion des zones de fonds marins uniquement (zones marines s’étendant à plus de 200 nm du littoral)
La carte présente le risque combiné pour la santé du bruit de la circulation routière et des niveaux de particules fines (PM2,5)/dioxyde d’azote (NO2). Les zones blanches montrent un risque combiné moyen dans les villes incluses dans cet outil. Dans les zones bleues, les risques combinés sont plus faibles, tandis que dans les zones orange et rouge, les risques combinés sont plus élevés. Grâce à cette carte, les citoyens peuvent mieux comprendre la qualité environnementale de leur quartier.
Le plan d’action zéro pollution est la pierre angulaire des ambitions de l’UE visant à améliorer le bien-être et la santé des citoyens et des générations futures dans le cadre du pacte vert européen. Il définit la vision selon laquelle d’ici 2050, l’UE devrait avoir réduit la pollution dans la mesure où elle ne nuit plus à la santé humaine et aux écosystèmes naturels. Cela se traduit par des objectifs clés à l’horizon 2030 pour accélérer la réduction de la pollution à la source. L’Agence européenne pour l’environnement a produit cette évaluation de surveillance de la pollution zéro pour évaluer les progrès vers ces objectifs et pour soutenir la Commission dans la réalisation de la vision à long terme d’un environnement non toxique.
Aujourd’hui, la Commission européenne publie son premier rapport sur la surveillance et les perspectives d’une pollution zéro définissant des voies vers un air, une eau et un sol plus propres. Le rapport de la Commission, ainsi que l’évaluation de la surveillance de l’Agence européenne pour l’environnement, montrent que les politiques de l’UE ont contribué à réduire la pollution de l’air ainsi que la pollution par les pesticides. Cependant, dans d’autres domaines tels que le bruit nocif, la pollution par les nutriments ou la production de déchets municipaux, des problèmes persistent. Les résultats montrent qu’une action globale beaucoup plus forte est nécessaire si l’UE veut atteindre les objectifs de zéro pollution pour 2030, en adoptant de nouvelles lois anti-pollution et en mettant mieux en œuvre celles qui existent déjà.
Visualisation de données
07 déc. 2022
Alors que les émissions de méthane dans l’ensemble de l’Union européenne ont diminué au cours des dernières années, la réduction globale des émissions doit s’accélérer pour atteindre les objectifs climatiques de l’UE pour 2030 et 2050. Des efforts mondiaux accrus pour réduire les émissions de méthane seraient également nécessaires pour atténuer le réchauffement climatique à court terme, selon une note d’information de l’Agence européenne pour l’environnement (AEE) sur les tendances et les moteurs des émissions de méthane publiée aujourd’hui.
Ces métadonnées font référence à l’ensemble de données vectorielles présentant, pour les régions NUTS3, le temps de trajet moyen jusqu’à l’hôpital le plus proche en 2020. Les données ont été développées par Eurostat pour mesurer la facilité d’accès aux services de base par la population résidente, sur la base d’analyses spatiales de la localisation des établissements de santé, combinée au réseau routier. Les établissements de santé ont été calculés (notez que cela aurait pu être de l’autre côté d’une frontière nationale).
Cet ensemble de données présente une évaluation du risque pour la santé dû à l’exposition à trois principaux polluants (PM2,5, NO2 et O3-SOMO35) aux niveaux NUTS3 et national. De plus, des valeurs de concentration moyennes et pondérées en fonction de la population sont disponibles dans l’ensemble de données pour PM10, PM2,5, NO2 et O3 (SOMO35). Les calculs sont effectués pour les années 2005 à 2020. Les données sur les concentrations sont tirées des cartes interpolées ETC/ATNI (ETC/ATNI Eionet Reports 1/2020/ et 1/2021 et les références qui y figurent). La méthodologie est telle que décrite dans le rapport ETC/ATNI Eionet 10/2021, agrégée au niveau national.
Ce rapport s’appuie sur les connaissances développées pour l’Observatoire européen du climat et de la santé. Il se concentre sur l’impact des températures élevées sur la population, ainsi que sur une autre menace émergente : la propagation de maladies infectieuses sensibles au climat.
La pollution de l’environnement a un impact sur notre santé et notre qualité de vie. Les évaluations de l’Agence européenne pour l’environnement ont mis en évidence ces impacts et les gains potentiels que nous pourrions tirer d’un environnement plus propre. Nous pouvons prévenir certains cas de cancer; nous pouvons améliorer notre qualité de vie avec chaque action que nous entreprenons vers zéro pollution en Europe.
Évaluation des indicateurs
13 octobre 2021
Les métaux lourds s’accumulent dans les écosystèmes et nuisent à la santé humaine. Conformément aux engagements de l’UE dans le cadre de la convention sur l’air, une législation spécifique a conduit à des réductions des émissions de métaux lourds dans toute l’Europe par rapport aux niveaux de 1990. Entre 2005 et 2019, les émissions ont continué de baisser, les émissions de plomb diminuant de 44 %, les émissions de mercure de 45 % et les émissions de cadmium de 33 % dans l’ensemble des États membres de l’UE-27. En 2019, l’Allemagne, l’Italie et la Pologne ont le plus contribué aux émissions de métaux lourds dans l’UE.
Un an après avoir vécu avec le COVID-19 et ses impacts, l’Europe continue de proposer des ensembles de politiques pour atteindre ses objectifs ambitieux définis dans le Green Deal européen. Il est essentiel que l’Europe maintienne le cap vers ses objectifs et veille à ce que l’Europe de 2050 soit une société résiliente fondée sur la solidarité, offrant un environnement sain pour nous tous.