En novembre 2023, une entreprise a entamé une nouvelle phase financière avec le placement de 500 millions d’euros de dette sur les marchés internationaux.Cette opération lui a permis de finaliser son refinancement et de ramener son passif à des « niveaux de normalité » après l’avoir réduit d’un quart en dix ans, passant de 2 584 millions à 621 millions d’euros. outre ces 500 millions en obligations, l’entreprise dispose de deux crédits pour un total de 120 millions auprès de plusieurs entités.
L’émission d’obligations est l’une des voies de collaboration envisagées avec le gouvernement. Des sources gouvernementales ont confirmé que « les discussions se poursuivent depuis un certain temps avec différentes alternatives sur la table ». Lors d’un forum, le président d’une coopérative a indiqué que la coopérative de distribution travaille avec un institut financier pour « générer des outils adaptés à notre situation financière ».
Les investissements dans les entreprises se heurtent à un problème. Il s’agit d’une coopérative, et il est complexe de réaliser un achat d’actions dans cette structure, comme cela a été le cas récemment pour d’autres entreprises.
avec l’émission de ces 500 millions, l’entreprise a pu liquider sa dette auprès des fonds qui avaient acheté les crédits qu’elle traînait auprès de plusieurs banques. Cependant, l’opération, réalisée sur le marché financier, s’est conclue à un taux d’intérêt très élevé de 10,62 %. Un pourcentage que la marque doit verser semestriellement à ses investisseurs.La coopérative avait déjà annoncé qu’elle chercherait à reformuler ses obligations pour réduire ce coût. Le type d’intérêt, selon l’entreprise, répondait à l’entrée sur le marché international et à l’absence d’antécédents auprès de ces investisseurs institutionnels. Le reste du refinancement s’est fait avec un prêt de 113 millions et un autre de 35 millions. Ce dernier arrive à échéance en mai. Il reste un paiement de 12,5 millions après l’amortissement anticipé de 22 millions obtenus grâce à la vente d’actifs immobiliers.
La coopérative dispose également de passifs financiers qui s’élèvent à 312 millions d’euros, dérivés des subordonnées et qu’elle verse annuellement à ses détenteurs.
Dans ce schéma, l’entreprise prévoit des paiements de 37,6 millions, 31,6 millions, 33,8 millions et 29,9 millions respectivement pour les années 2025, 2026, 2027 et 2028. Ce sont des chiffres plus confortables que ceux des derniers exercices, qui avaient empêché l’entreprise de croître au-delà de sa zone d’influence. La marque s’était concentrée sur une zone géographique spécifique, où elle achève un plan d’investissements et d’ouvertures de magasins. Dans cet espace, la part de marché a atteint 12,8 %. La prochaine étape, en 2027, est de reprendre la croissance au-delà de sa zone historique.
Refinancement réussi et perspectives d’avenir pour une coopérative de distribution
En novembre 2023, une coopérative de distribution a bouclé une opération de refinancement majeure, marquant un tournant dans sa situation financière. Après avoir réduit sa dette de 2 584 millions à 621 millions d’euros en dix ans (soit une réduction d’un quart), l’entreprise a placé 500 millions d’euros de dette sur les marchés internationaux. Cette opération, conjuguée à deux crédits totalisant 120 millions d’euros, lui a permis de ramener son passif à des niveaux considérés comme “normaux”. L’émission d’obligations a cependant entraîné un taux d’intérêt élevé de 10,62%, payable semestriellement. La coopérative explore des options pour réduire ce coût.
L’entreprise a également liquidé sa dette auprès des fonds ayant racheté ses crédits bancaires. Un amortissement anticipé de 22 millions d’euros, issu de la vente d’actifs immobiliers, a permis de réduire le montant dû à 12,5 millions d’euros. Un autre prêt de 35 millions d’euros arrive à échéance en mai. La coopérative maintient par ailleurs 312 millions d’euros de passifs financiers liés aux subordonnées.
Le refinancement s’inscrit dans une stratégie plus large de collaboration avec le gouvernement, des discussions étant en cours pour explorer différentes alternatives. La coopérative travaille également avec un institut financier pour développer des outils adaptés à sa situation financière. L’investissement dans la coopérative est complexe en raison de sa structure, rendant l’achat d’actions difficile.
Malgré les défis, la coopérative prévoit des paiements de dette plus faibles pour les prochaines années : 37,6 millions en 2025,31,6 millions en 2026,33,8 millions en 2027 et 29,9 millions en 2028. Ces chiffres plus maîtrisés permettront à l’entreprise de reprendre sa croissance au-delà de sa zone d’influence après avoir atteint une part de marché de 12,8% dans sa zone actuelle. La reprise de la croissance à plus grande échelle est planifiée pour 2027.
Tableau récapitulatif de la situation financière
| Année | Paiements de dette (millions €) | Observations |
|—|—|—|
| 2025 | 37,6 | |
| 2026 | 31,6 | |
| 2027 | 33,8 | Reprise de la croissance au-delà de la zone historique |
| 2028 | 29,9 | |
| Total dette (avant refinancement): | 2 584 | |
| Total dette (après refinancement): | 740 | (500 millions d’obligations + 120 millions de crédits + 120 millions de subordonnées) |
| Taux d’intérêt obligations: | 10,62% | Payable semestriellement |
FAQ
Q: Quel est le taux d’intérêt sur les obligations émises ?
R: 10,62% par an,payable semestriellement.
Q: Quand arrive à échéance le plus petit des deux prêts ?
R: En mai.
Q: Quelle est la part de marché de la coopérative dans sa zone d’influence actuelle ?
R: 12,8%.
Q: Quand la coopérative prévoit-elle de reprendre sa croissance au-delà de sa zone historique ?
R: En 2027.
Q: Quel est le montant des passifs financiers liés aux subordonnées ?
R: 312 millions d’euros.