2024-08-25 00:31:01
BarceloneUne idylle a à voir avec la vie vécue en pleine nature. C’est-à-dire calmement. Car le mot idylle, dans sa première définition (dans la CEI), fait référence à un genre poétique qui raconte les amours des bergers. Mais la grande majorité des fois où nous utilisons ce mot aujourd’hui, nous pensons à la deuxième définition, qui désigne une relation amoureuse intense. Que ce soit entre bergers ou entre une équipe de football et le but. Et c’est la preuve qu’en ce moment l’Espanyol n’a pas d’idylle avec le but. Après deux journées de Ligue, elle continue sans en célébrer une et est déjà la seule équipe de la compétition à ne pas l’avoir fait. Accumulez 180 minutes sans la joie principale du football. Ainsi, c’est très difficile à ajouter, et un génie de Take Kubo a donné la victoire (0-1) à la Real Sociedad.
L’Espanyol, ignorant les conseils idylliques, a pris un départ électrique pour son retour au stade RCDE en Première Division. Comme s’il était pressé d’effacer la mémoire de Valladolid. Les supporters blanc et bleu, particulièrement animés au début et prêts à pardonner les péchés de l’été, ont encouragé cette attitude et tous ensemble auraient pu se réjouir si l’arbitre Melero López avait considéré le contact entre Traoré comme un penalty et Véliz. a eu lieu dès la première minute. Mais l’Andalou n’a pas jugé suffisant de pointer du doigt les onze mètres.
Après cette déroute, qui s’est terminée sans occasions de but remarquables pour l’Espanyol, la Real Sociedad, qui n’était pas non plus exempte d’urgences en raison de la défaite de la première journée contre le Rayo Vallecano, a commencé à apprivoiser le ballon. Mais il n’a pas réussi à rendre nerveux Joan García, qui pourrait quitter l’équipe catalane avant la fermeture du marché des transferts, jusqu’après la 20e minute, lorsque Sergio Gómez a tenté sa chance devant la surface. Cette fois, le gardien de Sallent n’a pas eu à intervenir. Il l’a fait quelques jeux plus tard, lorsque le protagoniste lui-même a tenté de le battre d’un tir direct sur une faute latérale.
L’idylle de l’équipe catalane avec le but aurait pu connaître un premier épisode à la 55e minute. Javi Puado a volé le portefeuille à la défense rivale, a couru seul vers le but de Remiro et a donné le ballon à Véliz, qui se trouvait dans une position idéale. Mais ni lui ni Jofre Carreras n’ont réussi à frapper le ballon dans de bonnes conditions. C’était le début d’une nouvelle ruée blanche et bleue, plus dangereuse que la première, mais tout aussi stérile. Au lieu de cela, Take Kubo a pris les commandes, 10 minutes avant la fin, pour donner la victoire à la Real Sociedad.
- Espagnol : Joan García ; Jofre, Omar El Hilali (Pere Milla, 87′), Kumbulla, Cabrera, Carlos Romero (Tejero, 87′) ; Gragera (Antoniu Roca, 83′), Král ; Cardona (Oliván, 68′), Puado et Véliz. Entraîneur : Manolo González.
- Société royale : Remiro ; Traoré (Aramburu, 83′), Aritz Elustondo, Pacheco, Javi López ; Zubimendi, Turrientes (Olasagasti, 66′), Brais Méndez (Take Kubo, 66′) ; Sergio Gómez, Becker (Marín, 86′) et Oyarzabal (Sadiq, 66′). Entraîneur : Imanol Alguacil.
- Gols : 0-1 Take Kubo (80′).
- Arbitre : Mario Melero López (Collège Andalou).
- Cartons jaunes : Turrientes (51′), Jofre (52′), Oyarzabal (57′), Kumbulla (90+7′).
- Cartons rouges : Aucun.
- Stade : Stade RCD, 20 900 spectateurs.
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