Eugenio Scalfari, les réactions le jour de la mort. Pape: “Chagrin pour la disparition d’un ami”. Mattarella : “Particulièrement attristé”. Dragons : “Vide infranchissable”

Eugenio Scalfari, les réactions le jour de la mort.  Pape: “Chagrin pour la disparition d’un ami”.  Mattarella : “Particulièrement attristé”.  Dragons : “Vide infranchissable”

Lirio Abbate (Espresso): “Bonjour Directeur, nous continuerons dans le sillage de vos enseignements”

“Cette idée qu’il avait de faire du journalisme, avec des batailles politiques, culturelles et sociales, a changé notre vie, et a certainement amélioré ma vie professionnelle. Et la douleur de son décès est profonde non seulement en moi mais dans toute la rédaction. . de L’Espresso. Nous avons perdu le fondateur, le père de ce journal, “le Directeur” comme je l’ai toujours appelé pour son respect et son estime professionnels. Aujourd’hui est un jour sombre pour cet hebdomadaire, mais aussi pour l’ensemble de la gratuité presse. Et l’émotion de me souvenir de lui me submerge, car écrire sur lui en ce jour de deuil et de douleur, assis à l’endroit où il était il y a de nombreuses années n’est pas facile à contenir. mais l’identité que Scalfari nous a donnée et nous a appris “nous lire à la mémoire de Lirio Abbate, directeur de L’Expresso.

“” Le directeur “aimait à rappeler que L’Expresso il est né pour affirmer la valeur de l’innovation, d’un accord productif entre entrepreneurs et travailleurs pour amener la gauche démocratique au gouvernement du pays, à condition que la gauche abandonne l’idéologie marxiste et surtout ses aberrations. Ils voulaient une force réformiste, avec une Église libre dans un État libre, capable de lutter contre la corruption et l’évasion fiscale », poursuit Abbate.

« Dans la chambre que j’occupe aujourd’hui, il y a deux grandes photographies accrochées aux murs : dans la première c’est Lui, debout, souriant, devant Carlo Caracciolo tenant une copie de L’Espresso, prise par Enrica Scalfari ; la seconde est une rencontre du public à la Foire du livre de Turin, où nous étions assis côte à côte, pour discuter et analyser les faits de notre temps. Ce sont des images qui marquent cette vie, mais aussi celle à venir, le chemin que nous parcourrons.

Merci “Directeur” pour ce que vous nous avez donné.

Nous continuerons dans le sillage de vos enseignements et de vos idées, brandissant l’étendard de votre journalisme”.

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