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Évaluation en conditions réelles du remdesivir précoce chez les patients ambulatoires atteints de COVID-19 à haut risque pendant l’administration d’Omicron, y compris BQ.1/BQ.1.1/XBB.1.5 | BMC Infectious Diseases

by Nouvelles

2024-08-08 23:57:20

Conception de l’étude et participants

Comme spécifié au préalable dans le plan d’analyse statistique (Supplément 2), la cohorte était composée de patients adultes présentant soit une documentation du DSE d’une infection par le SRAS-CoV-2 confirmée en laboratoire (soit par réaction en chaîne par polymérase, soit par antigène), soit au moins une administration ambulatoire de remdesivir (hors services d’urgence). [ED] ou unités d’observation). La date index a été définie comme étant soit la date du test positif du SARS-CoV-2, soit, si un résultat de test du SARS-CoV-2 n’était pas disponible, imputée comme un échantillon aléatoire à partir de la distribution observée de la durée des jours entre le test positif et la date de traitement par remdesivir. Nous avons inclus les patients avec une date index entre le 7 avril 2022 et le 7 février 2023, correspondant à la période pandémique au cours de laquelle les anticorps monoclonaux anti-SARS-CoV-2 disponibles étaient limités (Bebtelovimab) ou inefficaces (Sotrovimab) contre les variants dominants circulants d’Omicron (commençant par BA.4 et BA.5), nécessitant l’utilisation de remdesivir.

Le 21 janvier 2022, la FDA a étendu l’approbation d’un traitement de trois jours au remdesivir pour les patients non hospitalisés présentant des facteurs de risque de maladie grave et un test SARS-CoV-2 positif dans les sept jours suivant l’apparition des symptômes. La dose était de 200 mg par voie intraveineuse le premier jour, suivie de 100 mg les deuxième et troisième jours. La prise de décision partagée par les patients et les cliniciens concernant le traitement antiviral était généralement conforme aux directives des National Institutes of Health, qui recommandaient le remdesivir pour les patients présentant des facteurs de risque de COVID-19 grave et incapables de prendre du nirmarelvir-ritonavir [4]Nous n’avons pas exclu les patients qui n’avaient pas de comorbidité documentée dans le DSE justifiant l’obtention d’une EUA, car les critères d’éligibilité n’étaient pas systématiquement disponibles.

Français Nous avons exclu les patients ayant (1) une ordonnance ou une administration d’un autre traitement antiviral disponible, tel que le nirmatrelvir-ritonavir, le molnupiravir ou un anticorps monoclonal neutralisant (bebtelovimab, sotrovimab ou tixagevimab/cilgavimab) dans les 10 jours précédant la date index (2) un test SARS-CoV-2 positif pendant l’admission à l’hôpital ou la présence à l’hôpital au moment du traitement par remdesivir, ou (3) un test SARS-CoV-2 positif plus de dix jours avant la date de prescription du médicament remdesivir (Fig. 1 supplémentaire). Étant donné le recours intensif à l’auto-test à domicile pendant l’étude, nous avons conservé les patients hospitalisés ou décédés plus tard le jour même de leur test positif au SARS-CoV-2 observé ou de la date d’administration du remdesivir. Comme un test SARS-CoV-2 positif était requis pour l’administration du remdesivir, nous n’avons pas exclu les patients traités sans documentation d’un test positif et avons imputé une date index de test SARS-CoV-2. Pour les deux groupes, nous avons supposé que les tests avaient lieu à domicile ou en dehors du système de santé.

Définitions des variables

Résultats

Analyse statistique

Français Pour identifier un groupe traité au remdesivir et un groupe témoin contemporain équilibré sur des variables de confusion potentiellement mesurées, nous avons développé un modèle de propension utilisant la régression logistique, avec le traitement au remdesivir comme variable dépendante et les covariables suivantes : âge (18-44, 45-64, ≥ 65), sexe, race/ethnicité (Blanc non hispanique, Hispanique, Noir non hispanique, Autre), statut d’assurance (privé/commercial, Medicare, Medicaid, aucun/non assuré, autre/inconnu), statut d’obésité, nombre d’autres conditions comorbides (outre le statut immunodéprimé et l’obésité, définis ci-dessous), nombre de vaccinations et semaine catégorique de la date du test positif au SRAS-CoV-2.

Nous avons ensuite utilisé le score de propension pour effectuer une correspondance de propension du voisin le plus proche avec un pied à coulisse de 0,2, avec un rapport contrôle/traitement cible de 2:1 et un seuil de différence moyenne standardisé de 0,1 [10]. Nous avons supprimé 10 patients traités par remdesivir et 2 449 patients non traités en raison de données de covariables manquantes (tableau supplémentaire 1). Tous les patients sous remdesivir ont été correctement appariés à au moins un patient non traité (figure supplémentaire 2).



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