Voici une traduction et adaptation de l’article, respectant les consignes de suppression des informations d’identification de la source, d’optimisation SEO pour un public francophone, et de qualité linguistique élevée :
Enquête sur l’explosion du dépôt Eni : Neuf personnes et Eni SpA sous enquête
Neuf personnes sont actuellement inscrites au registre des suspects par le parquet de Prato suite à l’explosion survenue au dépôt Eni de Calenzano le 9 décembre dernier, un événement tragique qui a coûté la vie à cinq personnes.
Sept de ces personnes appartiennent à Eni, tandis que les deux autres travaillent pour l’entreprise sous-traitante Sergen. cette dernière réalisait des travaux sur le site pour la mise en place d’une nouvelle ligne de biocarburant sur une ancienne ligne d’essence désaffectée. Eni SpA est également visée par l’enquête, en vertu de la loi 231 sur la responsabilité administrative des entreprises.
« Incident prévisible et évitable »
Selon les enquêteurs, l’accident du travail était prévisible et aurait pu être évité si une analyze des risques adéquate avait été menée, et si les procédures de sécurité et de planification obligatoires pour ce type de travaux avaient été correctement suivies.
L’analyse de la documentation relative à la sécurité et des activités menées dans le dépôt a révélé une erreur « grave et inexcusable ». D’après l’expertise commandée par le parquet, l’explosion aurait été causée par la plateforme élévatrice utilisée par Sergen pour les travaux. Le parquet a demandé au juge d’instruction un incident probatoire afin de déterminer avec précision les causes de l’accident.Les chefs d’accusation retenus par le procureur en chef Luca Tescaroli et le procureur Massimo Petrocchi sont : homicide involontaire multiple, catastrophe involontaire et blessures involontaires. La société Eni est également mise en cause pour infraction administrative en raison des actes commis par ses employés dans l’intérêt de la société, en l’absence d’un modèle organisationnel permettant d’empêcher la situation de risque. Eni avait pourtant classé ce risque avec une probabilité d’occurrence très faible.Les enquêteurs reprochent à Eni d’avoir permis,à Florence comme dans tous ses autres dépôts,la réalisation d’opérations de maintenance sans interrompre le chargement des camions-citernes.
Qui sont les personnes mises en cause ?
Les employés d’Eni mis en cause sont :
Patrizia Boschetti, en tant qu’employeur responsable de la gestion opérationnelle des dépôts Center Eni.
Luigi Collurà, responsable du dépôt Eni de Calenzano.
Carlo di Perna, responsable de la maintenance des dépôts Eni.
Marco Bini et Elio Ferrara, techniciens au dépôt de Calenzano.
Emanuela Proietti, responsable du service de prévention Eni.
Enrico Cerbino,responsable de projet externe Eni.
Eni SpA est également visée par l’enquête pour la responsabilité prévue par la loi 231.
Du côté de Sergen,les personnes mises en cause sont Francesco Cirone,employeur des deux ouvriers décédés,et Luigi Murno,responsable de la société basée à Viggiano (Potenza).
Tentative d’obstruction à l’enquête
Dans le cadre des investigations sur la tragédie du dépôt Eni, une tentative d’obstruction à l’enquête aurait également été mise au jour.
Les enquêteurs ont constaté que certains documents, produits postérieurement aux faits, auraient été insérés dans un dossier partagé entre Eni et Sergen.L’explosion du dépôt Eni à Calenzano fait l’objet d’une enquête approfondie. Neuf personnes sont désormais sous enquête, dont sept employés d’Eni. L’enquête se concentre sur la possibilité que l’incident était prévisible et aurait pu être évité.
Les enquêteurs examinent de près les protocoles de sécurité et les procédures de maintenance en vigueur au moment de l’explosion. L’objectif est de déterminer si des négligences ou des manquements ont contribué au désastre.Selon le bureau du procureur, il s’agirait d’une tentative d’entraver l’identification des responsabilités par les professionnels d’Eni.
L’accusation repose sur le fait que les interventions de maintenance n’auraient pas dû être effectuées ce jour-là, avec le chargement normal des camions-citernes.
Les enquêteurs ont calculé que si les pompes étaient restées fermées comme elles auraient dû l’être,une perte d’environ 255 000 euros de bénéfices aurait été enregistrée.
Eni a publié une déclaration concernant l’incident.
« Eni prend acte des informations de garantie émises par le bureau du procureur de Prato concernant l’incident au dépôt de Calenzano. Comme nous l’avons appris, les avis concernent les responsables et les opérateurs des zones techniques opérationnelles de la Direction Refining Revolution and Transformation d’Eni liées aux activités du dépôt, les représentants de la société fournisseur Sergen, ainsi qu’Eni SpA elle-même pour la responsabilité en vertu de la loi 231, et permettront la poursuite des activités d’enquête, y compris avec la participation des parties intéressées. »
Eni spa
Eni a également réaffirmé son engagement à coopérer pleinement avec les autorités judiciaires.
« Eni confirme, comme elle l’a fait jusqu’à présent, sa pleine et entière collaboration avec l’autorité judiciaire, avec la volonté prioritaire de contribuer à identifier les causes et les dynamiques associées à l’origine de l’incident. Eni confirme également son engagement à indemniser les proches des victimes de l’accident et, avec la plus grande rapidité possible permise par les délais des activités d’expertise, les dommages civils sur le territoire, dans un état d’avancement global. »
Eni SpA
Enquête sur l’explosion du dépôt Eni : Neuf personnes et Eni SpA sous enquête
Table of Contents
L’explosion du dépôt Eni de Calenzano, survenue le 9 décembre, a coûté la vie à cinq personnes. Neuf personnes sont inculpées : sept employés d’Eni et deux de la sous-traitante Sergen, qui effectuait des travaux d’installation d’une nouvelle ligne de biocarburant. eni SpA est également visée par l’enquête en vertu de la loi 231.
Un incident évitable ?
L’enquête conclut à un accident prévisible et évitable dû à une analyze de risques inadéquate et à un défaut de suivi des procédures de sécurité. L’expertise pointe la plateforme élévatrice de Sergen comme cause probable de l’explosion. Les chefs d’accusation sont : homicide involontaire multiple, catastrophe involontaire et blessures involontaires.Eni est accusée d’infraction administrative pour avoir permis des travaux de maintenance sans interrompre le chargement des camions-citernes, malgré une classification du risque comme “très faible”. Une tentative d’obstruction à l’enquête, via l’insertion de documents postérieurs à l’événement dans un dossier partagé, est également suspectée. L’enquête chiffrerait à 255 000€ la perte de bénéfices que la fermeture des pompes aurait engendrée.
Personnes mises en cause :
| Société | Rôle | Nom |
|———-|——————————————-|————————–|
| Eni | Responsable opérationnelle dépôts center Eni | Patrizia Boschetti |
| Eni | Responsable dépôt Calenzano | Luigi Collurà |
| Eni | responsable maintenance dépôts Eni | carlo di Perna |
| Eni | Technicien dépôt Calenzano | Marco Bini |
| Eni | Technicien dépôt Calenzano | Elio Ferrara |
| Eni | Responsable prévention Eni | Emanuela Proietti |
| Eni | Responsable projet externe Eni | Enrico Cerbino |
| Sergen | Employeur ouvriers décédés | Francesco Cirone |
| sergen | Responsable société | Luigi Murno |
| Eni SpA | Responsabilité Loi 231 | |
Déclaration d’Eni :
Eni a déclaré prendre acte des informations du procureur et affirme sa pleine collaboration avec la justice,son engagement à indemniser les victimes et à réparer les dommages.
FAQ
Q : Combien de personnes sont décédées ?
R : Cinq personnes.
Q : Quelles sont les accusations retenues ?
R : Homicide involontaire multiple, catastrophe involontaire et blessures involontaires.
Q : Pourquoi eni est-elle également mise en cause ?
R : En vertu de la loi 231 sur la responsabilité administrative des entreprises.
Q : quel est le rôle de Sergen dans cette affaire ?
R : Sergen était la sous-traitante effectuant des travaux de maintenance sur le site.
Q : L’accident était-il évitable ?
R : L’enquête conclut que oui, en raison d’une analyse de risques inadéquate et de manquement aux procédures de sécurité.