“Faites-vous cet entraînement ici?”

Im Licht des Vollmonds verharrt an einem Dienstagabend ein kleiner Kreis von Menschen am Frankfurter Mainufer minutenlang im Unterarmstütz. Vor den Treppen der Honsellbrücke haben sie dünne Handtücher ausgebreitet, die weder die Kälte noch die Härte des Asphalts abfangen dürften. Warum tun sie sich das an?

Der Abend beginnt zunächst entspannt – mit Jorge, der eineinhalb Stunden vorher mit dem Fahrrad am Hafenpark ankommt. Der Sportlehrer, der wie alle anderen auch nicht mit vollem Namen erscheinen will, springt an diesem Abend als Trainer der „Social Workout Crew“ ein.

Unter diesem Namen findet jeden Dienstag und Samstag ein öffentliches und kostenloses Training im Hafenpark statt – Dienstagabend von 19 Uhr an werden die Beine, samstagvormittags der ganze Körper trainiert. Entstanden ist die Idee zum gemeinsamen Training vor knapp acht Jahren in einer kleinen Freundesgruppe.

Inzwischen besteht die Whatsapp-Gruppe der „Social Workout Crew“ aus rund 330 Teilnehmern, im Sommer trainieren zeitweise über 100 Sportler mit. Winterpausen gibt es nicht, das Training findet ganzjährig und immer draußen statt. „Im Winter sind immer so zwanzig bis dreißig Leute hier“, sagt Jorge. Er selbst kam während der Pandemie dazu, als es wenige Möglichkeiten gab, anderweitig gemeinsam Sport zu treiben. Dabeigeblieben ist er bis heute, die Trainingsleitung übernimmt er an diesem Dienstag zum dritten Mal.

Mit der Zeit trudeln immer mehr Teilnehmer ein, warm eingepackt in Mützen, Wollschals und Handschuhen. Viele scheinen sich untereinander zu kennen, grüßen in die Runde, unterhalten sich. Doch auch eine junge Frau nähert sich der Gruppe und fragt: „Darf ich euch fragen, ob ihr hier dieses Workout macht?“

Les chemins dans lesquels les participants ont constaté que le groupe était diversifié. Beaucoup ont pris conscience d’eux par le bouche à oreille, certains également sur Instagram. Là, l’équipage de l’entraînement social partage des impressions de formation, mais est également recommandé de temps à autre des autres comptes. Keelin a donc également trouvé son chemin vers le parc Harbor.

Dans sa jeunesse, elle était toujours “un peu paresseuse”, dit-elle. Ce n’était que la formation conjointe en plein air. Pour elle, la formation est désormais un bon équilibre pour votre vie quotidienne: elle étudie la médecine à l’Université Goethe. Mais pas seulement physiquement, comme elle le dit: “Je pense que c’est bien que ce ne soit pas une bulle étudiante.”

La tranche d’âge parmi les près de 25 participants varie entre 20 et 60 ans ce soir-là. Après une entrée, se tenir devant le large escalier jusqu’au pont Honsell. Jorge intervient la boîte à musique et démontre le premier exercice: du squat, il saute à l’étape suivante – au deuxième tour du suivant mais un, après tout, il saute trois à la fois. “De belles ressorts pour que les genoux atterrissent doucement”, appelle-t-il.

Les exercices sont toujours bien expliqués, explique Anna. Elle a 37 ans et enseignante. Elle manquait souvent de ces instructions dans les gymnases. Vous pouvez donc économiser de l’argent, dit-elle: l’entraînement ici est comme une sorte de “camp de bateaux pour débutants”. Elle a découvert le groupe en été lorsqu’elle a dansé à côté avec un autre groupe de formation Bachata. “J’ai donc été recrutée”, dit-elle et rit.

L’enseignant n’est pas le seul. De nombreux participants sont tombés sur le groupe par hasard lorsqu’ils étaient actuellement actifs en termes de sport. Ce soir également, le groupe est régulièrement examiné par les coureurs. Lorsqu’un groupe de course se produit, les groupes s’accumulent soudainement. C’est le coureur adidas, explique un participant. Vous vous connaissez maintenant. Pendant que les coureurs avancent, l’équipage de l’entraînement social est en cercle devant les escaliers.

Les deux formateurs décident juste à l’avance de la façon dont ils construisent l’entraînement. “Nous parlerons brièvement à WhatsApp à l’avance”, explique Christian, qui, comme Jorge, intervient comme un entraîneur à court terme. C’est bien de voir que tant de gens viendraient s’entraîner en hiver, dit-il. “Bien qu’il soit encore chaud aujourd’hui”, dit-il – avec une température d’air de sept degrés.

Mais le temps soi-disant mauvais motive particulièrement certains. La participante Katja dit que lorsqu’elle s’est entraînée à la pluie, elle l’a presque apprécié. Le psychologue de 30 ans a déménagé dans la ville il y a un an et demi. C’est précisément pourquoi elle a immédiatement aimé le social sur la formation: “À l’âge adulte, il arrive rarement que vous apprenez à connaître de nouvelles personnes quelque part.”

Le couple exercice en cercle la fait avec Anna. Ils s’en tiennent aux bras tandis que l’on saute du squat, plus tard, ils se dirigent vers l’autre avec des genoux qui sont encore pliés. Le soudage augmente de plus en plus sur les visages, les conversations sont moindres. Si vous ne le pouvez plus, vous affaiblissez les exercices ou faites une pause. Dans le groupe, il y a des coureurs de marathon, des triathlètes et des combattants de Taekwondo, mais aussi beaucoup pour qui l’entraînement est le seul sport.

Après la dernière unité de force – une formation sur les mollets sur la façade du pont – il y a encore trois rituels sur le programme: s’étirer à la musique de Moby, posant une visite à l’italien. Cependant, cela échoue aujourd’hui. L’un des participants plus âgés dit que quelques fois par an, le groupe rencontre également la randonnée le dimanche. En plus des séances d’entraînement, il conduit d’autres sports, fait du vélo et coule pendant longtemps. L’entraînement musculaire supplémentaire est d’autant plus important pour lui: “La force est la première chose qui manque dans la vieillesse.”

Il fait donc également partie de ce “groupe hardcore”, car un participant l’appelle qui, après la fin de la formation, est toujours en position de plan sur l’asphalte. Il dure le plus longtemps à sept minutes. Elle ne sait pas si c’est une imagination, dit Keelin en regardant ses collègues sur le sol devant elle. Mais depuis qu’elle s’est entraînée ici, elle a eu l’impression que son système immunitaire est plus robuste: “J’ai le sentiment que vous durcissez.”