2024-11-28 18:07:00
Le constructeur chinois de voitures électriques Nio a été fondé en 2014. Les choses ne vont pas bien pour l’entreprise en Europe jusqu’à présent ; les ventes de voitures électriques sont très faibles.
Nio vendait jusqu’à présent ses véhicules exclusivement en magasin et sur Internet. Cela pourrait bientôt changer.
Comme le rapporte « Manager Magazin », le constructeur souhaite changer sa stratégie d’expansion et travailler avec de nouvelles marques et partenaires.
Le constructeur automobile chinois Nio est confronté à la faiblesse des ventes de ses voitures électriques en Europe. L’entreprise souhaite donc désormais changer complètement sa stratégie d’expansion, car «Magazine du gestionnaire» a rapporté. Ainsi, le constructeur, qui ne vendait jusqu’ici ses véhicules qu’en magasin et sur Internet, souhaite désormais travailler avec de nouvelles marques et partenaires.
Nio a été fondée en 2014. Jusqu’à présent, l’entreprise n’a pas connu beaucoup de succès en Europe. Selon le magazine économique, seules 338 voitures électriques de la marque ont pris les routes en Allemagne cette année, ce qui correspond à 71 % de moins que l’année précédente, qui a également été économiquement décevante pour l’entreprise. A titre de comparaison : en Chine, Nio vend jusqu’à 20 000 voitures électriques « dans les bons mois ».
Bientôt les marques filiales de Nio en Europe ?
La mauvaise activité dans ce pays est principalement due aux ventes. Les voitures électriques de Nio ont reçu de très bonnes critiques dans les rapports de test de la presse spécialisée allemande. Jusqu’à présent, cependant, le constructeur a tout fait lui-même en matière de ventes et a démenti les rumeurs sur une éventuelle coopération avec les concessionnaires. Cela devrait changer maintenant.
L’entreprise ne voudra bientôt plus être représentée sur le marché européen uniquement avec sa marque principale Nio, mais aussi avec ses deux marques filiales Onvo et Firefly. Le début des ventes de Firefly a été annoncé pour 2025. Les voitures seraient vendues par l’intermédiaire d’un importateur. Selon « Manager Magazin », la recherche d’un partenaire approprié est en cours – mais l’entreprise elle-même n’a pas voulu commenter ce sujet lorsqu’on lui a demandé.
Étant donné qu’il est récemment devenu beaucoup plus difficile pour les constructeurs chinois d’importer leurs voitures dans l’UE – en raison des tarifs douaniers punitifs de l’UE – Nio devrait également envisager d’ouvrir une usine en Europe. Le constructeur automobile BYD, également chinois, l’avait déjà annoncé. Les projets de Nio pour la nouvelle année semblent ambitieux compte tenu des difficultés actuelles : ils veulent doubler leurs ventes d’ici 2025.
vn
#Faux #départ #Europe #constructeur #automobile #chinois #Nio #veut #changer #ses #ventes
1732807220