Festa Fiorentina, 0-0 suffit pour la finale contre l’Inter

Festa Fiorentina, 0-0 suffit pour la finale contre l’Inter

2023-04-27 23:59:40

grosse soirée à Franchi, non pas tant pour le spectacle vu sur le terrain que pour l’accès à la finale de la Coupe des onze d’Italie, qui a réussi à défendre la victoire 2-0 au match aller contre Cremonese. Correspondre pas belle, disputé au ralenti, entre deux équipes très prudentes en défense et peu enclines à en faire trop. Peu d’occasions, les amateurs de bon jeu tourneront le nez mais le public de Fiesole s’en moque. La Fiorentina jouera la Coppa Italia contre l’Inter. Sous les yeux attentifs du président Commisso, un autre pas en avant della Viola, qui peut désormais rêver grand.

En première mi-temps, la Viola essaie d’attaquer les visiteurs mais le onze de Ballardini reste carré, réussissant à écraser le jeu au fil du temps. Les propriétaires les ont définitivement plus mais ils ne parviennent pas à convertir l’avantage net en termes de technique en opportunités. En seconde période, la toile du match ne change pas : Fiorentina che joue au jeu, Cremonese incapable de se lancer dans des actions dangereuses. Les Grigiorossi s’améliorent un instant avec l’entrée de Dessers mais ils ne piquent pas. Certains risquent trop pour les propriétaires, mais les forçage généreux dei Lombardi ne rouvre pas l’appel d’offres.

Le match

La Fiorentina prend le terrain avec une avance de deux buts au match aller contre Zini mais l’Italien ne veut pas perdre l’attention de son équipe, surtout compte tenu de l’amnésie du week-end dernier contre Monza. Espace alors pour trident d’attaque Ikone-Cabral-Gonzales. Défense de départ presque mais avec un changement, le décalage de repos accordé à Amrabat ; à sa place Castroville. Le scrutin en défense voit plutôt Milenkovic cochez-le sur le quatrième.

Ballardini sait que les Grigiorossi ont une montagne à gravir et décide de tout jouer avec un 3-5-2 inhabituel. Pour prêter main forte au tandem offensif Afena Gyan– Okereke, Pickel et Sernicola sur les ailes, avec pour mission de fournir de bons ballons aux attaquants. La défense, en revanche, presque entièrement repensé: place au trio Ghiglione-Ferrari-Lochoshvili.

Viola sournois, petit Cremo

Prêts à partir, les hôtes ils essaient d’attaquer les Lombards, poussant fort mais sans créer d’occasions de but vraiment nettes. L’italien doit se passer de Bonaventura mais la Fiorentina a encore un bonne approche au match. Le Cremonese résiste bien à l’impact et tente de profiter d’un craquement dans l’arrière-garde de Viola. Les Grigiorossi ont mis près d’un quart d’heure avant de prendre les mesures et de se présenter près de Terracciano de manière organisée. La première occasion se présente dans le quart d’heure, quand Milenkovic sur un corner il remonte bien, frappe une belle tête mais n’est pas précis. Le onze de Ballardini est de toute façon prudent et agressif au milieu de terrain, prêt à capitaliser sur les inexactitudes des hôtes. Compte tenu du double avantage, la Fiorentina n’est pas pressée et attend la bonne occasion pour frapper. Les Lombards n’en ont pas assez pour mettre Viola dans les cordes, qui semble jouer au chat et à la souris. Au fil du temps, l’excellent travail de Castroville sur l’aile gauche pose plus de problème aux invités, qui parviennent tout de même à déjouer les différentes reprises, tout d’abord le talon fantaisiste tenté par Arthur Cabral.

Dodo Fiorentina Crémonese

À la demi-heure, de nulle part, Viola décide de changer de rythme, envoyant immédiatement l’arrière-garde gris-rouge en crise, souvent contrainte de s’appuyer sur les sorties de Sarr. Le clash entre Nico Gonzales et Pickel permet aux deux techniciens de catéchiser leurs joueurs respectifs, mais lorsque les opérations reprennent tout continue plus ou moins sur les pistes habituelles. La foule Franchi s’excite quelques secondes à la 38e minute, lors d’une action solitaire Dodo se retrouve au sol au milieu de la surface de réparation. Marinelli, cependant, n’est pas dupe et extrait immédiatement le jaune pour la simulation. Les propriétaires trouvent parfois de la place pour qu’Ikone fasse la course à droite mais de manière un peu trop impromptue. Mieux sur les actions les plus manœuvrées, même s’il manque la bonne patte dans la surface de réparation. Ainsi, la première mi-temps s’est terminée 0-0; meilleure Fiorentina, plus technique et proactif, mais Cremonese n’a pas déçu. Nous verrons si quelque chose change en seconde période.

La Fiorentina aux commandes

Après une première fois définitivement oubliable, joué sur un rythme trop lent, Ballardini décide de changer le carton jaune pour Ghiglione avec Valeri. Sur le terrain, cependant, seule la Fiorentina peut être vue, de plus en plus déterminée à ne pas laisser le ballon du jeu devenir incontrôlable. Les gris-rouges, efficacement contenus par l’arrière-garde violette, ne font pas grand-chose. Les Viola sont particulièrement dangereux sur les flancs, où Biraghi il est stoppé à un pas du face à face avec Sarr, mais la défense lombarde garde une bonne garde. Ballardini entre dans la mêlée Desserts pour Okereke, évidemment à la recherche de plus de concret. Dodo pousse comme un fou, devinant courses péremptoires qui coupent le champ mais au plus beau moment ils ne trouvent pas de compagnons libres. L’entrée des Dessers semble sursauter les invités, qui trouvent plus d’espace à l’extérieur : dangereux notamment Afena Gyan qui vers l’heure envoie la défense violette dans la confusion pendant un moment. Igor est obligé de faire des heures supplémentaires et ça fait mal, laissant la place à Ranieri. L’Italien en profite pour le relais avant entre Ikone et Sottil.

Crémonese florentin italien

Ballardini jette Buonaiuto dans la mêlée pour Quagliata, espérant que ce sera le bon choc pour au moins rouvrir la confrontation. Même Afena-Gyan n’en a plus, obligeant l’entraîneur lombard à aligner Castagnetti. A vingt minutes du triple coup de sifflet, aucune équipe ne semble vouloir risquer quoi que ce soit pour rompre l’équilibre. Le public de Franks, honnêtement, ne semble pas trop s’en soucier. A 72′ quelques frayeurs pour l’arrière-garde Viola, déjoué par deux interventions précises mais assez risquées de Terracciano. Sur le revers du devant, belle combinaison entre Cabral et Nicolas Gonzalez: la frappe de l’Argentin ne trouve pas le deuxième poteau. Le onze de Ballardini tente d’accélérer le rythme mais c’est l’équipe locale qui abandonne dans la surface de Sarr. Belle tête dans la petite surface à la 83e minute Cabral: la balle arriverait près de Sottil mais l’alto ne tente même pas le tap-in. La Fiorentina contrôle sans trop de problèmes, ramenant à la maison un match nul qui en vaut la peine finale contre l’Inter.

Nico Gonzalez Fiorentina Cremonese

Le tableau de bord

FIORENTINE (4-3-3): Terracciano; Dodo, Milenkovic, Igor (63′ Ranieri), Biraghi ; Barak, Mandragora, Castrovilli (82′ Amrabat); Ikone (64′ Sottil), Cabral, Gonzalez (90+1′ Kouame). Remplaçants : Cerofolini, Vannucchi, Quarta, Ranieri, Venuti, Terzic, Bianco, Duncan, Amrabat, Brekalo, Saponara, Kouame, Sottil, Jovic. Entraîneur: Vincenzo Italien

CRÉMONESE (3-5-2): Sarr; Ghiglione (46′ Valeri), Ferrari, Lochoshvili ; Pickel, Galdames, Quagliata (67′ Buonaiuto), Meite, Sernicola; Afena-Gyan (69′ Castagnetti), Okereke (55′ Dessers). Remplaçants : Carnesecchi, Saro, Valeri, Vasquez, Ciofani, Buonaiuto, Bianchetti, Castagnetti, Acella, Benassi, Dessers, Basso Ricci. Entraîneur: David Ballardini

Marqueurs: –

Ammonite toi-même: 20′ Ghiglione (C), 38′ Dodo (F), 58′ Igor (F), 80′ Sernicola (C),

Exclu: –

Arbitre: Livio Marinelli (section Tivoli)



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