Deuxième journée presque sans pluie à Way Out West
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WAY OUT WEST Si jeudi était surtout consacré au vieux rock solide, vendredi à Slottsskogen s’empare fermement du genre de pop qui se produit actuellement. Notamment grâce à un retour en force d’Oskar Linnros et à une finale endiablée de Fred Again.
De plus, la pluie redoutée tombe pour de bon.
GÖTEBORG. Je n’étais pas là à ce moment-là, mais beaucoup de ceux qui y étaient en parlent encore Fred contre concert sous la tente Linné au Way Out West 2022.
31 ans Frédéric Gibson n’est pas seulement peut-être le producteur le plus marquant de ces dernières années, avec derrière lui des collaborations notables telles que Romy, Skrillex, La Mafia suédoise, Stormzy, FKA Twigs, Les Rues, Ellie Goulding, Ed Sheeran et Eminem. Pour n’en citer que quelques-uns.
Tout depuis qu’il a 16 ans et que sa famille habite à côté Brian Eno à Londres, Eno est son mentor créatif. Ils n’ont pas seulement fait de la musique ensemble. L’inspiration d’Eno est aussi le moteur qui a poussé Fred Again, entre autres choses, à sortir trois albums sous son propre nom (un quatrième sortira en septembre). Une sorte de “journal intime” avec une vision attrayante, repoussant les limites et large d’esprit de ce que peut être la musique pop dansante.
Que deux ans après sa dernière visite, il participe à la deuxième journée sur la plus grande scène de Way Out West est, à plusieurs égards, logique. Peu d’artistes incarnent autant le son des années 20 que Fred Again, et il attire également le plus grand public du festival à ce jour.
Sur un podium avec un parc de machines composé de claviers, séquenceurs et boîtes d’effets, et avec l’ami et “second opérateur machine” Tony en tant que seule compagnie, Fred ouvre Again avec quelques notes de piano théâtralement convulsives pour nous entraîner bientôt dans un voyage sinueux entre soul granuleuse, deep house stomp, hard jungle, mélodies accélérées et électronique de chambre. Le tout livré par un homme au grand sourire vêtu d’un t-shirt blanc, frappant à plusieurs reprises sa main sur son cœur en signe de sincère gratitude d’être ici et de jouer sa musique pour tant de personnes.
Et l’ensemble est chaleureusement intégré au message constant d’amour et d’espoir de la musique de danse classique.
Fred Again se déplace vers une scène montante dans le public où il joue Avenir-le remix “Turn on the Lights Again” et ne tarit pas d’éloges sur Swedish House Mafia, avec qui il a réalisé la chanson à Stockholm.
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Les rythmes les plus forts frappent comme des boulets de canon dans le ventre avant que l’artiste veuille tester une nouvelle idée et joue un thème et quelques lignes à chanter qui deviennent un thème récurrent du spectacle : « Je te laisserai prendre un morceau de moi/J’espère que tu obtiendras la paix dont tu as besoin ».
Quand il y revient dans la finale, c’est une manière belle et édifiante de clôturer le spectacle, qui, à mon avis, n’est en réalité freiné que par des règles photo inutilement rigides.
Quelques heures plus tôt sur la même scène, on assiste à un retour somptueux et pas si peu tagué sur la même scène Flamingo.
Oskar Linnros n’a pas joué en live depuis six ans et c’est le seul concert de l’été. Ce qui est pour le moins perceptible. Sur le public lyrique mais surtout sur lui-même.
Comme en quelque sorte Isaac Hayes de Sundbyberg, il se promène devant et derrière son groupe avec la légèreté impressionnante d’un soulman en armure métallique et un épais collier. Expulse les hymnes modernes tels que “Du balcon” et “À travers le feu”, ainsi que les hymnes du printemps Bo Kaspers-développement “Hypnotisé”, et parle de la rupture, qui était principalement due au fait qu’il avait eu deux enfants.
Il y aura peut-être un peu trop de bavardages, d’autant plus que Linnros allonge le temps et tarde à la fin. Pulpe plusieurs minutes. C’est d’autant plus amusant qu’il interprète deux titres inédits : “So high”, qui ressemble à un tube instantané, et la ballade “Colosseum”.
L’énergie monte encore plus lorsque “l’adepte” de Linnro Daniela Rathana revêt une sorte de costume de Phantom et non seulement fait partie du spectacle, mais diffuse également son propre single tiré de l’album de cet automne.
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Le reste du vendredi ?
Surtout, la pluie s’est arrêtée. Le déluge mineur prévu par les prévisions s’est transformé en averses pour la plupart éparses et assez tolérables.
Juste à temps pour que les nuages sombres se dissipent, nous avons eu droit à un agréable concert dans l’après-midi. Ellen Kraussà la fois attrayant dès l’ouverture “Souvent” et chaleureusement chaleureux dans le premier single de cinq ans “The one I love”, sur le fait de pouvoir aimer qui on veut.
Et quand les Britanniques Jessie Ware a même regardé le soleil se lever, ce qui a bien joué avec sa mise à jour optimiste de la soul disco classique, avec des boules scintillantes, des danseurs, des choristes et des chansons qui sonnaient exactement comme leurs noms, comme « Ça ! Ça fait du bien ! et “Ooh la la”. L’été Romy-le duo “Lift you up” manquait bien sûr Le XX-chanteur mais qui a quand même parcouru un long chemin.
Aujourd’hui, tout va jusqu’au bout avec, entre autres Le National, Rayon de fièvre, André 3000 et c’est dans ses parties pour ce festival débattu Benjamin Ingrosso.
Le conseil de mon petit connaisseur doit être Hourra pour la racaille (Hauteur 19h00). Une composition américaine d’un genre rare et marquant qui devrait vraiment briller sur la scène intimiste.
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2024-08-11 05:24:59
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