Feyenoord 1 – Atlético 3 : L’Atlético, en huitièmes de finale par la grande porte après avoir battu Feyenoord

Feyenoord 1 – Atlético 3 : L’Atlético, en huitièmes de finale par la grande porte après avoir battu Feyenoord

2023-11-29 01:24:41

Les feux d’artifice, les 47 500 gorges déchaînées et le froid humide de Rotterdam dessinaient un territoire hostile pour le Athlète de Madrid dans leur tentative de se qualifier pour les huitièmes de finale de la Ligue des Champions avant qu’il ne soit trop tard. Les hommes de Diego Pablo Simeone avaient des raisons d’être pressés ; Sa nature dramatique l’incite continuellement à choisir la voie de la sécurité.

  • Feyenoord
    Billet ; Geertruida, Trauner (Milambo, min.64), Hancko, Hartman ; Wieffer, Stengs (Ivanusec, min.70), Timber (Sauer, min.78) ; Minteh (Lingr, min.64), Paixao (Ueda, min.46) et Giménez.
  • Athlète de Madrid
    Oblak; Molina, Witsel, Giménez, Hermoso, Riquelme ; Llorente (Barrios, min.56), Koke (Correa, min.84), De Paul (Saúl, min.74) ; Griezmann et Morata (Memphis, min.74).
  • Buts
    0-1, min.14 : Geertruida (pp). 0-2, min.57 : Magnifique. 1-2, min.77 : Wieffer. 1-3, min.81 : Giménez (pp).
  • Arbitre
    Anthony Taylor (ENG). Aucune réprimande.

A l’image du match au Celtic Park, l’équipe rouge et blanche semblait abasourdie par l’ambiance, abasourdie par une meute de loups exaltée par un bruit assourdissant. Le très jeune menthe -un attaquant incisif et insaisissable- a raté deux occasions impossibles, en partie grâce à la nuisance de Giménez, Witsel il a tiré sous les bâtons Hancko alors que le staff néerlandais levait déjà les bras au ciel… L’Atlético s’est réfugié en lui-même, a répudié le ballon comme il ne l’avait jamais fait cette saison et très vite, quand il a commencé à sentir la fin de la tempête, il a reçu un divin cadeau pour certifier son passage aux huitièmes de finale de cette compétition qu’il poursuit avec zèle malgré les dommages irréparables qu’il a causés à son cœur.

Le bon défenseur de Feyenoord lui a rendu service Geertruida à la 14ème minute. Le Rotterdamien, face à un ballon lancé dans la surface sans grande foi par Llorente, a été dérouté par une feinte, un faux pas d’un Witsel désemparé qui se croyait hors-jeu, et, dans un carambolage typique du cinéma de Guy Ritchie – dont l’issue est toujours malheureuse -, le ballon a touché son bassin juste avant de s’arrêter au fond des filets de Bijlow. Le 0-1 était une immense récompense pour un Atlético jusqu’alors effrayé, mais les décisions du hasard l’invitaient à ramer avec le courant avec un trésor sous le bras.

Le temple de Griezmann

Ce but a mis fin à l’agitation de l’Atlético qui, bien que toujours emmuré face au but d’Oblak, a déjà osé ​​réaliser trois passes de suite. Dans ce contexte, les deux Immédiatement comme De Paul ont été essentiels sur le chemin du calme. Tous deux ont commencé à canaliser le jeu rouge et blanc avec une confiance étonnante, donnant un sens à la carrière de ce talent au nom de famille. Riquelme et surtout, ils ont trouvé Antoine Griezmann entre les lignes, l’endroit précis où le Français trouve son bonheur. A partir de là, d’une seule touche pleine d’art, Griezmann le laissait tranquille devant l’immensité du face-à-face. Moratamême si une main prodigieuse de Bijlow a empêché le deuxième coup athlétique.

Au fil du temps, le rôle de l’attaquant français dans le jeu s’est accru. Il eut une association légendaire avec Riquelme et Quartiers -deux rêves d’équipe de jeunes pleins de classe- et grâce à ce bon football, Morata a profité d’innombrables opportunités qui, incroyablement, n’ont pas abouti à la célébration par l’attaquant madrilène du score de 0-2. De plus, contrairement à sa campagne optimale, le capitaine de l’équipe espagnole semblait être une version de lui-même, celui qui a vécu une épreuve lorsque son inimitié envers le but était évidente.

Cependant, l’Atlético a réagi avec plus d’enthousiasme que de regret aux échecs de ses neuf joueurs ; Son état d’esprit était tel que, malgré les vagues locales dangereuses, il méritait encore plus qu’un minime avantage. Avec Barrios, Koke et Griezmann donnant du sens au prix d’un billet, l’Atlético s’est permis de sourire.

Une magnifique volée

Il est vrai que le départ d’Ueda a gêné la défense espagnole avec plusieurs approches notables du but d’Oblak, mais au-delà de la ténacité des Japonais et de quelques éclairs de magie de Steng, Feyenoord était une équipe convaincante mais prévisible. Cependant, sa ténacité s’est terminée par la magnifique volée de Beau Mario à la 57e minute, un tir du pied gauche qui, volontairement ou non, mérite d’être vu répété en boucle.

Les locaux y croyaient encore grâce à une tête de Wieffer ; Cependant, peu après le 1-2, à la 81e minute, un autre but contre son camp a provoqué un silence absolu chez De Kuip. Le terrible buteur fut Santiago Giménez, une star locale absolue, qui a certifié le passage de l’Atlético au deuxième tour et l’élimination mathématique de Feyenoord. La fortune, si souvent ingrate envers les rouges et les blancs, leur a finalement fait un clin d’œil en Europe. “Cela faisait des années que nous n’étions pas arrivés au bout de cette tranquillité”, a-t-il déclaré, toujours au pied du terrain, heureux et presque sans voix, un Siméone que, avec Alex Ferguson oui Arsène Wengeril est devenu ce mardi le seul entraîneur à compter 100 matchs de Ligue des champions pour un même club.



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