Feynman et/ou les faits – Arrêtez la folie

Sur la BNR, le président des avocats spécialisés en droit d’asile a encore une fois eu le droit de se dégonfler avec une caricature dépassée du droit d’asile selon lequel nous ne traitons que tout le monde. chant accueilli à bras ouverts. On ne lui a posé aucune question critique. Aucune question n’a été posée sur la Belgique, par exemple treize mois n’accueille pas les hommes célibataires. L’UE sait grandes différences dans la politique d’asile, on n’en parle pas.

Comment cela fonctionne est mieux vu dans Bureau Maastricht. Un demandeur d’asile ivre et sniffant détruit un AZC, les autres demandeurs d’asile ont fui dehors. Ils se tiennent à côté des policiers, qui n’entrent pas, car ce tireur de couteau indésirable aurait une protection dans « sa maison ». Nous laissons les gens nous marcher dessus et nous rendons ainsi un mauvais service à nous-mêmes et aux réfugiés de guerre.

La misère ne s’arrête pas là. Un autre demandeur d’asile débouté tente de mettre fin à ses jours. Il est placé dans une cellule câline, où il enduit la cellule, lui-même, la fenêtre de la porte et les caméras avec ses excréments. Il est transféré dans une cellule câlin propre, les mains en place. sangles de repos. Là, il essaie de se casser la tête, après quoi il devient complètement obsédé.

Environ six policiers passent une demi-journée à travailler avec lui. C’est du moins la partie qui est visuellement documentée. Ils soupçonnent que le demandeur d’asile débouté agit ainsi pour empêcher son expulsion. L’autorisation doit être demandée pour chaque procédure et tout doit être dactylographié. Les policiers écrivent ensuite sa bibliographie et en deviennent démotivés et surchargés.

Notre système d’asile dispose d’installations pour ces demandeurs d’asile déboutés ou autres demandeurs d’asile criminels. à peine des conséquences efficaces. Il n’est pas possible de les laisser à l’intérieur pendant de longues périodes détention provisoire être emmené, être admis dans une institution fermée pour leur propre sécurité ou la nôtre, être puni pour leurs crimes ou éteindre. Nous laissons les employés du refuge pour demandeurs d’asile, les commerçants et la police nettoyer le robinet ouvert.

L’épisode a commencé avec un cheesehead qui a commencé une course folle mettant sa vie en danger pour éviter d’être arrêté, il a vu les policiers abandonner. Ce suspect est venu je ne reviens pas dans l’épisode. Il le fait, il part et il s’en va. Il vit dans liberté absolue. Le juge tient les policiers responsables des conséquences de sa poursuite, et non les suspects.

C’est un vœu pieux naïf de la part du tribunal. Le juge met en balance les actes des policiers avec les infractions connues avant la poursuite. Nous devons toujours supposer le meilleur. Le tribunal crée d’abord un mirage. Lady Justice oublie que les gens fuient généralement pour une raison et, par conséquent, nous laissons une large place aux criminels et aux patients psychologiques.

Les agents ont laissé partir le dangereux fou et sont allés discuter avec le titulaire de la plaque d’immatriculation. Il s’est avéré qu’il s’agissait du grand-père du suspect. Le conducteur du scooter s’est avéré être un petit-fils souffrant de graves problèmes psychologiques. Ici, des agents s’approchent d’un couple de personnes âgées impuissant. Cela ne marche pas, ils attendent de l’aide et nous ne sommes pas d’accord sur des choses comme ça.

Le conducteur du scooter constitue un danger pour lui-même et pour son entourage lors de cette poursuite. Grâce à ses graves problèmes psychologiques, il constitue également un danger pour lui-même et son entourage avant et après la course-poursuite. Sa place est à l’intérieur en attendant son traitement, si nécessaire depuis des années. Notre attitude nonchalante de laissez-faire est extrêmement perturbatrice aidants naturelsla police et buren.

Dans les évaluations des détentions et des admissions forcées, nous avons une vision étroite des effets sur les criminels, les toxicomanes et autres patients psychiatriques. On oublie leur famille, buren et le reste de la société. Ils bénéficient tous d’être temporairement libérés du flux continu d’atteintes à leur liberté, sur lesquelles les politiques, la police et la justice n’ont aucun contrôle.

Nous avons bâti un État de droit dans lequel les fautes sont récompensées. Où problèmes sont discutées longuement par des groupes de plus en plus nombreux de personnes formées académiquement, sans traduction sur le lieu de travail pour intervenir et restreindre fermement les comportements indésirables. Nous sommes particulièrement critiques envers les policiers qui nous protègent physiquement des patients psychiatriques.

Il est temps de remettre la responsabilité de la désescalade à sa place. Cela n’appartient pas du tout à la famille ou à la police, mais à l’agresseur. Même si l’agresseur a des problèmes mentaux, ce n’est pas un laissez-passer pour votre famille ou vos voisins. depuis des années pour rendre la vie misérable. Toute personne qui commet régulièrement des infractions pénales doit être placée en détention à titre préventif. Cela donne à chacun une tranquillité d’esprit.

Votre liberté commence là où finit celle des antisociaux.

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