Financièrement libre : Ces 6 ETF sont dans mon portefeuille de 229 000 euros

Duc Pham a 31 ans, coach financier et se décrit comme financièrement indépendant. « Je suis du genre à travailler dur », a-t-il déclaré à Business Insider dans une interview. Pham se considère comme un économe, ce qui signifie pour lui gagner beaucoup et dépenser peu. «Il fut un temps où j’avais un taux d’épargne de 80 pour cent – ​​mais je ne le recommanderais à personne aujourd’hui.» En même temps, il sait aussi investir.

Son attitude envers l’argent était fortement influencée par son éducation. « L’argent me fascine parce que c’était une denrée rare pour nous », explique Pham. Sa mère vient du Vietnam et connaissait à peine la langue lorsqu’elle a déménagé en Allemagne. « Nous vivions dans un appartement préfabriqué et bénéficiions de l’aide sociale. Cela m’a façonné, ce qui a fait naître le sentiment de ne jamais en avoir assez. » Une peur qu’il a encore parfois aujourd’hui : tout perdre. « C’est pour cette raison que j’ai beaucoup épargné pendant longtemps, non pas pour me constituer un patrimoine, mais pour avoir une certaine sécurité. »

Que signifie pour lui l’indépendance financière ? Qu’il pourrait vivre de ses revenus passifs. « Je parle de rente perpétuelle. Je pourrais retirer 4 % de mon portefeuille chaque année et, avec mes revenus locatifs mensuels, cela me suffirait », explique Pham. Le préalable : son mode de vie ne doit pas changer et il ne doit pas y avoir de krach boursier significatif.

Le frugaliste suppose qu’il générera un rendement d’au moins quatre pour cent chaque année. Son mode de vie joue un rôle important dans ses calculs. Pham n’a pas d’enfants. Il a calculé qu’avec son mode de vie actuel, il n’avait besoin que de 1 500 euros nets par mois.

“C’est à ce moment-là que ma cupidité s’est réveillée.”