Flamengo étudie toujours la punition pour Varela

Dans une interview avec TNT Sports, Braz a admis que le joueur n’aurait pas dû être là. Malgré cela, il a déclaré qu’il n’avait participé à aucun combat.

Les scènes regrettables que nous avons vues ne font pas partie du football. Le front de mer regorge de scènes que nous pensons à peine que le football mérite. Varela s’est entraîné normalement, a réalisé toutes les activités du club. Il est allé déjeuner et est sorti rencontrer deux amis. C’est ce que Varela m’a dit dans un second temps. Il était extrêmement inquiet pour ces deux amis et conduisait sa voiture à proximité de ses amis. À un moment donné, alors qu’il a été arrêté, la police militaire est arrivée et lui a demandé de sortir de la voiture. Il n’était même pas sorti de la voiture. C’était au mauvais endroit, ça n’aurait pas dû être là. Mais je n’ai été impliqué dans aucune sorte de fraternisation ou d’agitation. Le Premier ministre lui a ordonné de sortir de la voiture et il a fait ce qu’il fallait. Marcos Braz

Varela a reçu un appel et est allée retirer deux amis du chaos sur la plage. Il s’est entraîné le matin à Ninho et a rempli tous les engagements du club. Ensuite, il est allé à Recreio et est retourné au CT.

Les images montrent Varela à l’extérieur de la voiture et cela s’est produit sur ordre de la police. Il a arrêté le véhicule pour monter à bord de ses connaissances et a été intercepté en lui demandant de sortir de la voiture. L’arrière a tenté de s’identifier comme étant un joueur de Flamengo, mais les agents ont quand même procédé à la fouille. A ce moment-là, il était filmé dans des vidéos circulant sur les réseaux. Par la suite, l’Uruguayen a été libéré.

Dans un communiqué, Varela souligne qu’il n’a participé à aucun acte de violence. Le joueur explique qu’il a perdu le contact avec ses amis à son arrivée sur les lieux, où il est resté 15 minutes et a fini par être fouillé. Il s’est excusé pour le malentendu.

Les supporters de Peñarol ont transformé la plage de Recreio dos Bandeirantes, dans la Zone Ouest (RJ), en une véritable place de guerre au poste 12. Les Uruguayens ont pillé un kiosque, incendié des motos et affronté des baigneurs et des policiers militaires armés de pierres, de tables et de chaises.

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