2024-02-26 09:17:00
Mais le but du Portugais, arrivé après 155 journées, n’est que la plus savoureuse cerise pour un Milan – non gâché par le turnover – qui pendant presque tout le match n’a pas laissé de répit à l’Atalanta qui, rappelons-le, sortait au contraire de cinq buts. victoires consécutives. L’opposé des Rossoneri, revenant de deux défaites avec sept buts encaissés.
Mais voici la surprise, la réaction à laquelle vous ne vous attendez pas. Le coup de queue du diable. L’équipe de Pioli, accusée de dérapages défensifs bien connus, a en effet acculé les joueurs de Bergame, incapables de résister à une pression aussi intense et constante. Outre Leao, toujours incisif dans ses appuis, toute l’équipe a impressionné par sa qualité et sa rapidité de jeu. Il faut dire que le penalty qui a donné lieu à l’égalisation de l’Atalanta accordé par Orsato, d’après le rapport du VAR, pour un coup de pied de Giroud à l’épaule de Holm est également très discutable. Un contact peut-être puni par les nouvelles règles, mais absolument léger et hors de propos. Pioli lui-même (« Nous méritions de gagner, le penalty n’était pas là. ») l’a durement contesté. Un Milan qui se redécouvre donc et qui est certes proche du match nul et qui voit la deuxième place lui filer. Cependant, Milan a été surprenant car il a été capable de se retrouver à ce niveau après une semaine en dents de scie. Un réveil qui n’efface cependant pas la déception d’un match nul qui ne fait que satisfaire l’Atalanta. Milan est désormais troisième (53 points), suivi de Bologne (48) et de l’équipe de Gasperini (45) qui doivent cependant récupérer le match contre l’Inter.
Goulot d’étranglement décisif pour l’Inter
Pour en revenir aux leaders de la ligue, à la veille du match à l’extérieur contre Lecce, pour ne pas trop offenser la sensibilité des supporters superstitieux des Nerazzurri, toutes les précautions possibles ont été prises, compte tenu des blessures, des luttes à venir en Champions. Ligue, le gros turnover : bref, tout ce qui, à cause d’une trop grande euphorie, pourrait provoquer une baisse de concentration. Certains ont même réussi à dire que Lecce, après avoir perdu cinq de ses six derniers matches, était comme un dangereux lion blessé, déterminé à vendre cher sa peau. Et en fait, nous avons vu comment cela s’est passé : quatre gifles et de nombreuses salutations également au lion du Salento.
Et maintenant? Désormais, pour éliminer toute prudence résiduelle, l’Inter doit surmonter deux autres obstacles : mercredi prochain, la reprise contre l’Atalanta ; Gênes à San Siro le lundi 4 mars. Même si Gênes se porte bien, le seul point vraiment important est celui avec Dea, toujours un client difficile même s’il n’a pas brillé contre Milan. Si l’équipe d’Inzaghi surmonte ces obstacles, les poursuivants pourraient définitivement se rassurer. L’Inter atteindrait 72 après 27 journées. Un point de plus que le Naples triomphant de l’année dernière. Cette prolongation suffirait-elle à dire que c’est fini ? Probablement pas parce que ceux qui suivent le football sont au fond superstitieux, alors n’en parlons plus. Beaucoup plus intéressant, outre la lutte pour les autres places de la Ligue des Champions (qui de trois pourraient devenir quatre si l’Italie reste première ou deuxième du classement UEFA) est de comprendre si l’Inter se lancera avec conviction dans une “mission” habituellement jugé impossible, c’est à dire le couple Championnat – Coupe aux grandes oreilles. Un objectif très ambitieux qui rappelle les temps glorieux de Mourinho. Pourtant, entre le dire et le faire, l’Atletico Madrid est impliqué. Ensuite, avec les avertissements nécessaires, nous verrons.
Allegri gagne : mais quel effort !
Et la Juve ? Il fait ses devoirs, sans infamie et sans éloges, en revenant s’imposer (3-2) contre Frosinone. Quelque chose qui lui manquait depuis quatre matchs. Mais quel effort ! Tant d’angoisses, tant d’inquiétudes : Le but vainqueur est intervenu à la 95ème minute sur corner grâce à une déviation de Rugani qui a transformé un dimanche à oublier en une journée précieuse pour consolider la deuxième place. Milan est désormais quatre points plus bas. Pour le reste, mis à part le doublé de Vlohovic, inutile de vous écorcher les mains. D’autant plus que la Juve, grâce à l’avant-centre serbe, avait immédiatement pris l’avantage. Mais l’excellente organisation des joueurs de la Lazio a renversé la balance en envoyant d’abord Cheddira puis Comandini marquer.
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