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Formule 1, Verstappen gagne et sécurise le Championnat du Monde

by Nouvelles

2024-11-03 23:05:00

Il n’y avait pas de truelle, de bulldozer, de grattoir, d’équerre ou de truelle qui aurait pu faire mieux aujourd’hui pour égaliser les performances de la Formule 1 comme la pluie. Si redouté, si détesté, si dangereux en course. Pourtant très désiré et exploité par les champions avec un C majuscule. Et cette fois, il n’y avait aucun doute sur qui savait gérer cela en sa faveur comme les grands parmi les grands.

Le Grand Prix de Formule 1 du Brésil 2024 a été une montagne russe d’émotions, pleine de rebondissements inattendus. Max Verstappen, parti d’une surprenante dix-septième position, a réalisé une performance magistrale et a remporté une victoire sensationnelle, bouleversant les attentes pour le titre mondial de fin de saison. Après des qualifications épouvantables, il remontait presque du bas et s’imposait, avec un écart, avec des meilleurs tours répétés et avec un écart moyen de neuf dixièmes sur ses poursuivants directs. Il a donné à Norris une leçon magistrale et a désormais l’avantage de pouvoir clôturer presque à volonté lors des trois prochains Grands Prix.

Donc seulement quelques-uns

La course s’est déroulée au Brésil, donc les associations avec Senna ont été vaines : lui et Senna, mais aussi Schumacher, en fait, ont été les magiciens de la pluie de la seconde moitié de l’histoire de la Formule 1. Avec des performances comme celle vue à Interlagos 2024. Cependant, Max Verstappen commence aussi peu à peu à mériter ce titre glorieux et, au plus fort d’un week-end complexe et imprévisible, y met beaucoup de son côté. Sa petite amie de longue date, fille de Nelson Piquet, n’a pas pu retenir ses larmes, qui n’avait peut-être jamais vu son bien-aimé exceller aussi bien, de manière aussi indélébile, devant son public, qui en sait beaucoup sur les moteurs et les aime toujours malgré plus de quinze ans depuis les derniers grands exploits d’un compatriote, Felipe Massa à l’époque de Ferrari.

Verstappen remporte la victoire numéro 62 de sa carrière de la meilleure des manières, avec un timing parfait pour faire parler de lui en bien, après tant de bavardages sur son équipe, des managers aux techniciens, des performances aux “astuces”. Une année qui a bien commencé et puis, depuis le 23 juin, il y a dix courses, plus aucune victoire. Et donc un leadership un temps épouvantable qui, de mois en mois, risquait d’être sérieusement compromis. Au point d’être presque donné pour mort, non pas encore pour des raisons arithmétiques mais d’un point de vue moral. Parce que tout s’est passé l’été dernier : McLaren s’est révélée incisive et, comme toutes les autres courses, également imbattable. Et récemment, entre autres choses, Ferrari s’est également réveillée et, après le bon exploit en Australie et à Monte-Carlo, a pu gagner à Monza puis aussi à Austin et à Mexico.

Passant aux rouges, on savait que la piste n’était pas la plus adaptée, mais même le destin n’a pas essayé d’aider particulièrement les inscrits à Maranello : la troisième place du Sprint de Leclerc, remportée par Norris suivi de Piastri, n’a pas suffi à consoler le équipe après deux victoires consécutives auxquelles aujourd’hui Charles n’a pu enchaîner qu’avec une cinquième, tandis que Sainz a même subi une erreur. Quatre autres pilotes se sont également exclus en raison d’une piste très mouillée, affectant la course de beaucoup : en effet, si la première voiture de sécurité a retardé le départ de 17 minutes, c’était la faute d’un Stroll “habituel” qui partait en tête-à-queue avant le départ. , une fois la course lancée, une deuxième interruption a favorisé, entre autres, Verstappen, avec en prime un arrêt au stand “gratuit”.



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