2024-02-23 20:54:51
Max Hjelm affirme sur la page éditoriale du Dagens Nyheter que je veux « démanteler l’État de droit » avec des zones de sécurité. Mais mon objectif est au contraire de protéger l’État de droit tout en assumant la responsabilité de la tâche la plus fondamentale de l’État libéral : la sécurité des citoyens.
Les gouvernements précédents n’y sont pas parvenus. Depuis 2018, il y a eu plus de 300 fusillades chaque année. L’année dernière, 28 passants sont morts ou ont été blessés dans les violences du gang.
Les modérés veulent donc introduire la possibilité pour la police d’établir des zones de sécurité. Cela peut avoir lieu temporairement dans une certaine zone lorsqu’il existe un risque accru de violence armée ou d’attentats à la bombe. Avec une présence policière accrue et des pouvoirs de fouille plus étendus, la violence peut être évitée.
Il est regrettable que les partis d’opposition ne veulent même pas que cette mesure soit tentée. L’une des raisons invoquées par le Parti du Centre est que cela serait « contraire aux principes fondamentaux de l’État de droit ». Ce n’est pas seulement une exagération, mais tout simplement une erreur. D’une part, les zones peuvent faire l’objet d’un recours et, d’autre part, chaque visite individuelle nécessite une évaluation et une documentation. Par exemple, une casquette d’une marque particulière ne suffit pas, ce que certains ont prétendu à tort. En outre, le Conseil législatif a examiné et accepté dans tous ses aspects la proposition législative du gouvernement.
Par exemple, une casquette d’une marque particulière ne suffit pas, ce que certains ont prétendu à tort.
Cependant, Max Hjelm de DN comprend mal ma critique du Parti du centre lorsque j’écris que la menace contre l’État de droit est en fait la propre politique du parti. Ce n’est pas principalement la résistance à des pouvoirs policiers supplémentaires qui pose problème, mais l’ignorance politique du parti à d’autres égards.
je en ny forskningsöversikt décrit à quel point les réseaux criminels en Suède constituent une menace systémique. Le crime organisé expose tous les pans de la société – y compris le système judiciaire – à l’influence et à l’infiltration. Ce n’est toutefois pas un hasard si la Suède, mais pas nos pays voisins, est touchée par cette menace étendue et aiguë.
La création de clans criminels et la croissance de l’étrangeté dans laquelle sont apparues les bandes criminelles sont fondamentalement dues à une politique migratoire irresponsable. Malheureusement, le Parti du centre, comme le reste de la gauche, s’oppose au changement de système en cours dans la politique migratoire ainsi que dans la politique pénale.
Le manque de compréhension de la menace réelle qui pèse sur l’État de droit et des causes sous-jacentes pousse des politiciens par ailleurs avisés, et malheureusement certains éditorialistes, à forcer les moucherons et à avaler les chameaux.
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