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Gala renaît entre mode et imaginaire

2024-07-11 19:07:31

Il y a quatre mois, la Fondation Gala-Dalí et La Roca Village révélaient la personnalité de Gala à travers vingt-quatre pièces de sa collection de mode en “L’éveil du mythe : Gala Dalí”. Organisée par Bea Crespo, du Centre d’études daliniennes, avec Noelia Collado, directrice adjointe du contenu de La Roca Village et la direction artistique de Montse Aguer, directrice des Musées Dalí, l’exposition se déroule en trois saisons : « Collection Printemps-Été » , « Haute couture » (inaugurée en juin dernier) et « Collection automne-hiver », qui conclura le cycle en octobre.

Au-delà de son statut d’égérie, quelles autres facettes Gala nous réserve-t-elle ? La question a inspiré “De nombreux visages de Gala”, initiative de La Roca Village qui complète l’exposition du château de Púbol. La collaboration avec la Fondation Gala-Salvador Dalí, explique Elena Foguet, directrice commerciale de Value Retail Spain, étudie à quoi ressemblerait Gala aujourd’hui : « Autonomisé, libre et fascinant », dit Foguet. Le fait que l’héritage de Dalí soit diffusé à La Roca Village lui permet “de dépasser ses musées et de le rapprocher de publics insolites, d’origines et d’intérêts très divers”, ajoute Félix Roca, directeur général de la Fondation.

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Conçu comme une exposition en plein air dont le parcours est ponctué de photographies de Jordi Bernadó et de peintures sur les façades des maisons de Carla Fuentes, « Many Faces of Gala » conjecture des images inédites de la muse aux multiples facettes. Noelia Collado, commissaire de l’exposition Púbol, suggère comment le Gala se comporterait au XXIe siècle. Fuentes l’imagine en train de bronzer sur la plage ou de prendre un selfie avec un téléphone portable qui porte la moustache de Dalí comme trait distinctif sur des peintures murales remplies de roses rouges, d’abeilles (c’est ainsi que le peintre l’a identifiée), d’écureuils que Gala collectionnait et d’autres icônes pleines de sens biographique.

Un monde onirique qui nous transporte à Púbol à travers les photographies que Bernadó a prises au château-musée. Comme celle d’une robe Christian Dior qui fait irruption dans la cuisine comme une scène surréaliste. Dans les pièces de Dior, Loewe ou Schiaparelli, le photographe ressent le geste et la présence d’une Gala qui utilisait la haute couture comme masque : “Dans la mode, elle a trouvé le moyen de se montrer au monde sans se révéler complètement”, conclut-il.

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