Le patron du milieu de terrain a décidé du match avec un but lors du dernier jeu
Le point culminant de Gil Vicente : Rúben Fernandes (7)
Il a mené la défense, a commis peu d’erreurs dans les duels individuels qu’il a menés, n’a pas permis à Isaac d’avoir une quelconque influence sur le match et, au moment où l’équipe en avait le plus besoin, il était capitaine. Il s’est élevé, a battu tout le monde et s’est dirigé vers la victoire, après quatre défaites. Il a tenu à souligner la jeunesse de l’équipe et s’est révélé être un leader pour les moins expérimentés.
André on lui a peu demandé, mais à part le but, dont il n’est pas responsable, il n’a rien manqué. En défense, Rubén Fernandes était un leader en défense et en attaque, plus certainement que Josué.Sur la droite, Zé Carlos était plus fréquemment impliqué dans l’attaque que Sandro da Cruzarrière gauche.
Durant la première mi-temps, le milieu de terrain a été le maillon le plus fort de Gil Vicente. Caseres était dominant, Saint-Santi été partout et Fujimoto mené en créativité, offrant même le but à son coéquipier. La baisse de performance du Japonais en seconde période, il était le meilleur en première, a coïncidé avec la diminution du confort de Gil dans le jeu.
Devant, Touré a été beaucoup moins demandé que Félix Correiaqui, bien que très impliqué, a échoué très tôt et n’a pas été particulièrement inspiré. Il s’est racheté avec la passe décisive pour le deuxième but. Abandonné est venu pour assurer la stabilité, Paul Il a quand même essayé de tirer au but.
Notes des joueurs de Gil Vicente : André (6) ; Zé Carlos (6), Josué (5), Rúben Fernandes (7), Sandro da Cruz (5) ; Caseres (6), Santi (6), Fujimoto (6) ; Touré (5), Aguirre (5), Félix Correia (6) ; Mboula (5), Gbane (5), Pablo (5), Elimbi (-).