Gonzalo Valdivieso, le cartographe de la grotte

Sa passion est les grottes, qu’il a atteint un chemin inattendu: la trigonométrie. Gonzalo Valdivieso Bohórquez Il est géologue et initialement un speleologue en papier: il a rencontré un groupe universitaire pour lire et apprendre des cavernes et, s’ils ont réussi à visiter une fois par an. C’est pourquoi il a déjà fait la première sortie sur le terrain, qui entrait en fait dans la grotte de La Cumbre, dans le département de Huila. Là, il a dessiné sa première carte, de la cartographie minière de base, et où il ne voit pas qu’il a trouvé sa voie et des coordonnées pour développer son propre modèle cartographique qui le transporte aujourd’hui dans toute la Colombie.

“Dans le pays, nous avons 842 grottes en stock”, dit-il. Mais, comme pour d’autres questions de la nature ici, il reste beaucoup à découvrir. «Nous avons des zones inexplorées, comme la jungle, qui a de nombreuses montagnes pleines de grottes, dont trois ou quatre sont connues, et nous calculons qu’il pourrait y en avoir plus de 300; Et vers les chaînes de montagnes, il y en a aussi beaucoup, mais sans une communauté spécifique qui se consacre à les étudier ».

Ce que l’on sait, c’est que Florián, Beauty, Farm, Beauty, La Paz, Peñón et Aguada sont les municipalités de la province de Vélez (Santander) avec les zones d’épaisseur les plus importantes du pays et aussi la plus inconnue. En commun, des formations avec une roche calcaire, qui se traduit par de nombreuses grottes de toutes sortes. «Cette province concentre les dépassements géologiques: les grottes les plus importantes ou les plus grandes sont généralement en calcaires et cette zone en a. De plus, ils sont exposés et l’eau les dissout. De plus, la tectonique qui forme la chaîne de montagnes pliée et les vergetures où l’eau est mise et brise la roche, filtre et permet ces formations ».

Dans cette même région, c’est celle qui, à ce jour, est la plus grande grotte de Colombie et un rêve que Gonzalo veut être mesuré. «Le trou d’aigle, à El Peñón, est en fait un réseau de plusieurs grottes dont il y a quelques schémas, il n’y a pas de cartographie. Mon intention est de la mesurer, mais étant si grande et si verticale, elle nécessite beaucoup d’équipement, de logistique et de personnes ».