Pour la première fois, les chiffres montrent à quel point la nature de l’Ukraine est vraiment mauvaise. C’est loin d’être la fin du bilan.
Kateryna Polynska prend des photos : de cratères de bombes, d’animaux morts, de dégâts laissés par les bombes russes dans les parcs nationaux ukrainiens. Elle prélève des échantillons d’eau et de sol pour des analyses en laboratoire. Pour l’environnement, il court le risque d’être lui-même victime de la guerre d’agression russe. Car lors de ses incursions à travers l’Ukraine, la paysagiste écologiste passe tout près du front.
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