Handball aux JO 2024 : l’adversaire de l’Allemagne, la France, vacille

Vor dreieinhalb Wochen in Dortmund: Die Expertise des wohl besten Spielers in der Handballgeschichte war gefragt. Die Auswahl des Deutschen Handball-Bundes (DHB) hatte unmittelbar zuvor Frankreich 35:30 bezwungen. Es war der erste deutsche Erfolg über den Olympiasieger von Tokio und aktuellen Europameister seit zweieinhalb Jahren, und Nikola Karabatic sollte nun sagen, was er davon hielt.

Der 40 Jahre alte Franzose, der seine Ausnahmekarriere nach den Sommerspielen beenden wird, wirkte trotz der Niederlage aufgeräumt, es war ja nicht viel passiert, sondern hatte sich nur um ein Testspiel in der Olympiavorbereitung gehandelt. Also sprach Karabatic über die Deutschen: „Sie haben gezeigt, dass sie viel Qualität haben und etwas schaffen können. Wenn sie den Europameister schlagen können, können sie jeden schlagen.“

Seit jenem Samstag Mitte Juli hat die DHB-Auswahl Karabatics Wertschätzung spielend bestätigt. Außer Kroatien hat sie beim olympischen Turnier tatsächlich jeden geschlagen, darunter den Medaillenanwärter Schweden und die starken Spanier, und ist nach vier Siegen als Gruppenerster ins Viertelfinale eingezogen.

Dort bekommen es die deutschen Männer an diesem Mittwoch (13.30 Uhr im F.A.Z.-Liveticker zu Olympia, im ZDF und bei Eurosport) mit altbekannten Gesichtern zu tun: mit Nikola Karabatic, seinem Bruder Luka und all den anderen Stars des olympischen Gastgebers. „Das hätten wir sicherlich anders genommen“, sagte der deutsche Kapitän Johannes Golla, „aber gut, so ist das jetzt.“

Le fait qu’il y ait un affrontement en quart de finale auquel les deux équipes auraient aimé renoncer au début de la phase à élimination directe est dû à la force des Allemands et à la faiblesse des Français. Les hôtes parisiens ont survécu de justesse au tour préliminaire à la quatrième place du groupe, ont débuté avec trois matches sans victoire et sont restés dos au mur jusqu’à la fin. “Nous n’avons pas joué notre meilleur handball, mais nous avons gagné avec notre tête”, a déclaré Nikola Karabatic à propos de performances comme la dernière contre la Hongrie.

Les stars, qui ont triomphé aux Championnats d’Europe en Allemagne il y a six mois, semblaient faibles et sans inspiration au tour préliminaire. Ce qui l’a portée jusqu’ici, c’est sa grande classe individuelle et la réponse frénétique du public. “Nous avons pris confiance en la phase de groupes, les Français ne l’ont certainement pas fait”, a déclaré Golla, qui attend “les bonnes émotions” de son équipe.

Il y a un niveau d’inquiétude élevé dans le handball français à la suite de la rencontre avec les joueurs de l’entraîneur national Alfred Gislason, qui jusqu’à présent dans le tournoi ont laissé peu de trous en défense et ont pris le dessus et ont montré des variantes en attaque même sans un ailier droit entraîné. . Les joueurs allemands sont en moyenne plus jeunes que les Français, qui ont gagné leurs mérites lors de nombreux matchs éliminatoires.

Mais contrairement aux rencontres des années précédentes, la Grande Nation ne se considère plus comme la favorite du duel de quartier. “Tout est possible en quarts de finale”, a déclaré le pivot Ludovic Fabregas, presque penaud selon les standards français : “C’est un match cinquante-cinquante parce que les Allemands jouent vraiment bien.”

Le jeune groupe de Gislason doit se préparer à affronter une ambiance encore plus chaude après son déménagement de Paris à Lille. Après le départ des basketteurs, le stade de football Pierre-Mauroy a été transformé pendant une semaine en arène de handball. 27 000 spectateurs – quatre fois plus qu’à la Paris Arena – accueilleront la magie.

Interrogé à ce sujet, Gislason a répondu aussi calmement que ses joueurs devraient le rester : “C’est un match de handball. L’entraîneur national sait qu’il y a plus en jeu : pour les Allemands, après la médaille de bronze en 2016, il s’agit de revenir dans la ronde des médailles.” pour Nikola Karabatic, tout tourne autour de la fin.