Harpe – Albion – HeavyPop.at

Harpe – Albion – HeavyPop.at

2023-12-06 21:38:46

de Olivier
le 6 décembre 2023
dans l’album

Un indie dark folk doux-amer et sombre et séduisant, imprégné d’un brouillard de goth, de dark wave et de post-punk new age : Tim Smith rejoint le groupe environ 12 ans après son départ. Lac Midlake avec sa femme Kathi Zung comme Harpe à travers Albion.

Albion est, dans une certaine mesure, déjà devenu l’album que les gens veulent Le courage des autres von Lac Midlake (à moins que l’on ne vise un retour stylistique Les procès de Van Occupanther espéré, mais était très satisfait de la voie choisie par le groupe) aurait osé s’attendre si Tim Smith était resté dans le groupe : Extrait de l’intro Le gris agréable loin (en quelque sorte via les intermèdes Cristaux et Lune se poursuivent par des intermèdes feutrés et ondulants, qui font couler l’album, qui n’est d’ailleurs pas particulièrement rapide, mais qui est très dense en raison de la mélancolie omniprésente, à respirer profondément comme une paresse instrumentale), Smith retrouve des associations inconditionnelles avec son Actes des hommes and Co. créent un folk mystique et calme qui s’inscrit parfaitement dans l’œuvre d’art culte.
Même là, aux débuts du disque, l’évolution de Harpe à l’horizon de cette époque Lac Midlake car les synthés ésotériques-sphériques, anachroniques et pourtant semblant tout droit sortis des années 80, jouent un rôle non négligeable dans le façonnement des événements et de l’esthétique.

Celui qui est sombre Je suis la graine construit son personnage sous une nostalgie et une grâce troublée, mais sonne aussi comme une transe postpunk décélérée et douce. Une fontaine se balance de manière plus conciliante et douce, laisse ses claviers vagabonder comme des arrangements de cuivres, c’est ce qu’il recherche Filles d’Albion semble presque exaltant dans une nostalgie réconfortante et avec un grand crochet il offre un air accrocheur instantané, hors du temps et si familier : malgré une unité stylistique qui ne tombe dans aucune véritable uniformité Albion certainement une variation. Ce n’est pas un album difficile, mais intuitif, dont les mélodies développent une agréable familiarité, bien qu’elles soient au service de l’atmosphère générale.
Route de la cathédrale de campagne bouillonne paisiblement dans l’ambiance, dérive dans une outro délirante à la limite du jam et Flèches brillantes aspire à la même solitude que l’un des moments forts évidents du disque Comment disparaître complètement après l’épanouissement d’une solennité retenue à la Rufus Wainwright. Ailes d’argent a un peu Les Smith– et Le traitement-Jangle flair dans la contemplation élégiaque et Sept longs soleils ondule parfois sous la patine du buffet celtique à volonté muzak dans le traditionalisme anglais progressiste.

Combien la finale du disque s’ouvre ensuite – avec la danse rapide Trône d’Ambrequi reste trop mélancolique pour le dancefloor au naturalisme pictural, et Herstmonceuxqui, de son éclat sacré, plonge ici plus loin dans les années 80 que les numéros précédents, mais révèle aussi une veine pleine d’espoir et de détente, tandis que Smith entonne comme John Grant – mais souligne ensuite aussi que Albion est, sur de longues périodes, une introspection couvant dans son propre jus ; traite plus systématiquement de son propre passé que de partir vers de nouveaux rivages.
Avec quoi Smith accepte consciemment que son retour fonctionnera davantage grâce au sentiment du bien-être que cela fait de se blottir à nouveau contre cette voix charismatique, de la laisser vous emmener dans un monde surnaturel qui est tombé hors du temps – c’est-à-dire s’appuyer sur euphémisme qu’en soi inspirer. Cependant, sans aucun spectacle, Smith ne fait pas grand-chose de mal, surtout à cette période sombre de l’année.

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#Harpe #Albion #HeavyPop.at
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