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Il governo statunitense ha condiviso per sbaglio piani militari segreti con un giornalista

by Nouvelles

L’governance d’un ancien président américain a accidentellement inclus un journaliste dans une conversation privée où était planifiée une opération militaire majeure. Cet incident soulève de sérieuses questions de sécurité nationale.

Des plans militaires secrets ont été partagés avec un journaliste. Des membres importants du gouvernement,y compris des conseillers à la sécurité nationale et des hauts responsables,n’ont pas remarqué sa présence dans le groupe de discussion. De plus, la messagerie Signal a été utilisée, une submission chiffrée, mais non autorisée pour la transmission d’informations classifiées, comme des plans d’opérations militaires.

Le journaliste a été ajouté à Signal quelques jours avant l’attaque. Il a immédiatement suspecté l’authenticité de l’invitation, compte tenu des relations tendues entre l’administration et les médias.

Deux jours plus tard, il a été intégré à un groupe de discussion nommé “Houthi PC small group“. “PC” signifie *Principals Committee*, une version restreinte du Conseil de sécurité nationale. Ce comité comprend les plus hauts fonctionnaires du gouvernement chargés de la sécurité nationale, tels que les secrétaires d’État et de la Défense, ainsi que le directeur de la CIA.Le groupe comprenait des individus dont les initiales correspondaient à celles de hauts responsables gouvernementaux. Le journaliste a d’abord cru à une désinformation ou à une blague, mais un porte-parole du Conseil de sécurité a confirmé l’authenticité du groupe.

Les discussions portaient sur l’attaque imminente. Un haut responsable avait initialement exprimé des réserves, critiquant le fait que les navires marchands européens bénéficiaient de la protection américaine. Il aurait déclaré : « Je déteste sauver l’Europe ». Il a ensuite été convaincu du bien-fondé de l’opération.

Les détails de l’attaque,y compris le calendrier et les armes à utiliser,ont été discutés dans le groupe. Le journaliste doutait encore de l’authenticité des plans et s’est consulté avec ses collègues sans quitter la conversation. il a commencé à prendre le groupe au sérieux lorsque l’attaque a effectivement eu lieu à l’heure prévue. Des messages de célébration de la « victoire » et divers emojis ont été partagés.

Le journaliste a quitté le groupe et a contacté le gouvernement.Le Conseil de sécurité nationale et la Maison blanche ont confirmé l’authenticité des messages et ont promis d’enquêter sur la manière dont il avait été inclus.

L’utilisation de Signal pour de telles discussions est également problématique.Bien que l’application soit utilisée pour des communications non confidentielles, elle n’est pas appropriée pour coordonner des opérations militaires.

Cela pourrait constituer une violation de l’*Espionage Act*, une loi fédérale qui interdit l’espionnage. Le gouvernement dispose de systèmes sécurisés pour discuter des informations confidentielles, et les téléphones personnels sont généralement interdits lors de ces réunions. De plus, certains messages étaient programmés pour s’effacer, ce qui contrevient à la loi qui exige la conservation des communications des fonctionnaires.

Fuite de plans militaires secrets : un journaliste impliqué par erreur dans une conversation confidentielle

Un journaliste a été accidentellement inclus dans un groupe de discussion ultra-confidentiel sur l’application Signal, où des plans d’opérations militaires secrètes étaient discutés. L’incident soulève de graves préoccupations concernant la sécurité nationale.

Le déroulement de l’incident

le journaliste a été ajouté à un groupe nommé “Houthi PC small group”, deux jours avant une opération militaire. Ce groupe, qui comprenait des hauts responsables du gouvernement, était dédié à la planification d’une opération contre les Houthis. Les discussions comprenaient les détails de l’attaque, y compris le calendrier et les armes utilisées. Au début, le journaliste a suspecté une fausse information ou une plaisanterie en raison de la tension entre l’governance et les médias, mais il a ensuite confirmé l’authenticité du groupe.

Le rôle de signal et les préoccupations de sécurité

L’utilisation de Signal, une application de messagerie chiffrée, pour discuter d’informations classifiées a été jugée inappropriée. Cela soulève des questions quant à la conformité avec l’Espionage Act et les protocoles de sécurité gouvernementaux. L’utilisation de téléphones personnels et la programmation de messages pour s’effacer sont également problématiques.

Réaction et conséquences

Le Conseil de sécurité nationale et la Maison Blanche ont confirmé l’authenticité des messages et ont promis une enquête. Cet incident est considéré comme l’une des plus graves failles de sécurité de l’histoire militaire américaine récente [[3]].

Tableau récapitulatif : Éléments clés de l’incident

| Élément | Détails |

| —————————– | —————————————————————————————————————————————————————————————————————————— |

| Nature de la fuite | Inclusion accidentelle d’un journaliste dans un groupe secret.|

| Plateforme utilisée | Signal, une application de messagerie chiffrée. |

| Sujet des discussions | Planification d’une opération militaire. |

| participants | Hauts responsables gouvernementaux, y compris potentiellement des membres du Conseil de sécurité nationale. |

| Conséquences potentielles | Violation de l’Espionage Act, atteinte à la sécurité nationale. |

| Réponse du gouvernement | Confirmation de l’authenticité, promesse d’enquête. |

FAQ

Q : Qu’est-ce qui s’est passé exactement ?

R : Un journaliste a été accidentellement inclus dans un groupe de discussion secret où étaient planifiées des opérations militaires.

Q : quelle application a été utilisée pour ces discussions ?

R : Signal, une application de messagerie chiffrée.

Q : quelles informations ont été partagées ?

R : Des plans militaires secrets, incluant le calendrier et les armes à utiliser.

Q : Quelle est la réaction du gouvernement ?

R : Le gouvernement a confirmé l’authenticité des messages et a promis une enquête.

Q : Pourquoi cet incident est-il problématique ?

R : Cela soulève des questions de sécurité nationale et pourrait constituer une violation de l’Espionage Act.

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