Il ne reste que 150 000 nouveaux appartements – c’est pourquoi la crise s’aggrave

Le problème : d’importants facteurs de stress pour le secteur immobilier risquent de persister pour le moment. Depuis 2022, le secteur est confronté à des problèmes de livraison, à une hausse des prix de la construction, à une pénurie persistante de travailleurs qualifiés, à l’inflation et à des taux d’intérêt élevés. Les experts immobiliers partent par exemple du principe que les taux d’intérêt directeurs resteront pour l’instant à leur niveau élevé actuel. Cela signifie qu’une nouvelle baisse des taux d’intérêt dans le secteur de la construction n’est pas prévisible. Ils sont actuellement d’environ 3,5 pour cent.

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Et pour de nombreuses entreprises de construction, cela risque de devenir encore plus cher : selon les initiés, les banques sont relativement réticentes à accorder des prêts à de nombreux acteurs du secteur de la construction en raison de la crise actuelle et exigent donc, par exemple, des prêts à taux variable avec majorations d’intérêt élevées. Même si les taux d’intérêt ont atteint leur plus haut niveau, aucune amélioration rapide n’est en vue pour le secteur de la construction.