L’ancien avant-centre de l’équipe nationale, champion du monde en 2006 en Allemagne, est resté en selle pendant quatre mois, du 10 octobre au 11 février : “J’ai épousé le projet avec transparence et ce dernier est ce que j’aurais souhaité, surtout sur le marché”. qui, à mon avis, était en retard et n’était pas en ligne”, lit-on dans le post sur son profil Instagram.
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«Les phrases de consolation du réalisateur Sabatini sont de peu d’utilité, notamment parce que je ne vois pas l’intérêt de s’excuser de sa propre erreur et de couper la tête d’autrui. Je vis pour le football et pour la loyauté qu’il m’a appris, c’est pour cela que j’aime les supporters, parce qu’ils sont fidèles et malheureusement c’est ce que je voudrais aussi dans le milieu mais peut-être que je suis utopiste”, a-t-il poursuivi.
Et encore : « Enfin, il ne servirait à rien de dire que Dame Chance chez nous a tourné la tête dans l’autre sens. Maintenant, j’espère que tout redeviendra comme la place le mérite et je souhaite à mes joueurs de poursuivre le chemin de croissance qu’ils ont entamé ensemble il y a trois mois. Je les embrasse tous avec affection, je vous embrasse tous avec affection et toujours “macte animo” (courage, ndlr)”.
Cependant, le début de ce post est un salut adressé aux fans de Salernitana : « Le moment de la séparation est toujours compliqué, surtout lorsque la décision est prise. Salerne est entrée en moi en quelques mois seulement. Dans les rues, des fans et des gens ordinaires m’arrêtent, avec regret et mécontentement, pour un salut, une photo, une poignée de main. Le seul mot que j’ai maintenant envie de dire avec mon cœur est : « merci ». Pour l’accueil, l’estime et la confiance. Je ne ressens pas le poids d’un échec, je ressens la faiblesse d’une mission inachevée par ma volonté, ainsi que le grand sens des responsabilités pour une ville et l’un des plus beaux supporters d’Italie. Je confirme que j’ai tenté à deux reprises de bousculer le milieu de l’intérieur, craignant ma démission, mais j’ai toujours été persuadé de continuer car finalement une seule phrase s’applique à moi aussi : JUSQU’À LA FIN”.
2024-02-13 01:23:12
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