“Ils ont le potentiel de remplacer la chimiothérapie”

Que faut-il faire pour améliorer encore les chances de survie ?
Le plus important c’est le diagnostic. Plus le cancer est découvert tôt, mieux c’est. Environ les deux tiers des patients atteints d’un cancer du poumon survivent ainsi. Si le cancer est déjà avancé, il n’en est qu’à dix pour cent. Chez AstraZeneca, nous avons développé une technologie qui évalue les radiographies prises en relation avec d’autres maladies. Cela vous donne des indications directes de cancer. Nous investissons beaucoup d’argent dans l’analyse des biomarqueurs, c’est-à-dire des substances présentes dans le corps qui indiquent si un cancer est présent ou non. Nous avons également développé la première méthode de diagnostic contrôlée par l’IA – notre système QCS – qui évalue les biomarqueurs.