Dans ce dernier cas, un dépistage par IRM est nécessaire, mais il s’avère que le Conseil de la Santé s’y oppose car cela causerait un stress inutile aux femmes. Lors d’une mammographie, les médecins vérifient si un sein est constitué de beaucoup de tissu glandulaire, mais ne sont pas autorisés à en parler aux femmes.
Je vais l’expliquer un peu plus simplement ici, cela vaut la peine de lire l’article, car la façon dont cela fonctionne est assez déroutante. Lorsqu’il s’agit de la santé des femmes, on hésite souvent à améliorer les choses.
Récemment, après que l’attention a été à nouveau attirée sur la pose douloureuse des DIU, la première réaction de l’Association néerlandaise des médecins généralistes a été qu’il n’y aurait pas de nouvelles directives. « Prenez simplement du paracétamol », tel est le conseil – comment pourrait-il en être autrement, le remède miracle néerlandais pour littéralement toutes les maladies. Heureusement, la Chambre souhaite que le soulagement de la douleur devienne plus facile lors de la pose d’un DIU. Au moins c’est quelque chose.
Revenons aux seins et à l’IRM. Selon le Conseil de la Santé, vous inquiètez inutilement les femmes si vous les référez. Je pense que les femmes se sentent alors prises au sérieux, qu’elles préfèrent bénéficier d’un dépistage supplémentaire plutôt que d’être laissées dans le noir.
C’est tellement condescendant de la part des femmes de décider si elles peuvent gérer ce stress. Sinon, pourquoi des femmes prendraient-elles la peine de se rendre dans un bus aussi déprimant et de se faire écraser les seins d’une manière désagréable si elles ne voulaient pas cette certitude ?
Je trouve incompréhensible cette intransigeance, ce refus de faire des efforts, de sortir des sentiers battus et de regarder non seulement les coûts mais aussi le bien-être.
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