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Index – Belföld – L’agresseur de Bernadett Orosz a été condamné à la prison

by Nouvelles
Index – Belföld – L’agresseur de Bernadett Orosz a été condamné à la prison

La mère de six enfants a été battue par son ex-petit-ami, un lieutenant-colonel militaire à la retraite, lors des vacances militaires à Bujak en 2019. L’affaire a fait beaucoup de poussière en 2019, l’homme a été poursuivi pour le délit de coups et blessures graves. La procédure est en cours devant le tribunal depuis longtemps, l’automne dernier, nous avons écrit sur les négociations en cours.

Le Tribunal Balassagyarmati sur son site internet Il a été indiqué vendredi que le verdict dans cette affaire était attendu le 12 février à 9 heures du matin. Depuis, le verdict est tombé :

István K. a été condamné à 1 an et 10 mois de prison.

D’ailleurs, le parquet avait demandé auparavant, lors de la réunion préparatoire, que l’homme soit condamné à trois ans et demi de prison s’il avouait son crime, mais cela n’a pas été fait, écrit le journal. Clignoter. On ne sait pas encore si l’une ou l’autre des parties fera appel du verdict.

Détails de l’affaire

Le prévenu a été reconnu coupable de plusieurs agressions consécutives. Selon les faits de l’acte d’accusation, consultables sur le site Internet du tribunal régional de Balassa, l’accusé et la victime ont participé à la réunion de classe du collège militaire de l’accusé au camp militaire de Bujak le 9 novembre 2019. Le prévenu s’est intoxiqué à cause des boissons alcoolisées qu’il a consommées à partir de 14 heures.

Après le dîner, dans la soirée, la victime montait dans sa chambre. Vers 20 h 25, l’accusé s’est lancé à la poursuite de la victime et soupçonnait celle-ci de parler à un autre homme au téléphone.

Pour cette raison, la victime a quitté la chambre et a demandé une autre chambre à la réception, mais celle-ci n’a pas pu répondre à sa demande en raison du manque d’espace libre.

Peu de temps après, la victime est retournée dans sa chambre, a verrouillé la porte de l’intérieur avec une clé et s’est couchée, mais l’accusé est également retourné dans la chambre. Comme il ne pouvait pas entrer par la porte fermée, il a cassé la porte et est entré dans la pièce. Il s’est tenu au-dessus de la victime allongée sur le lit et lui a donné plusieurs coups de poing au visage. Entre-temps, il a affirmé que la victime l’avait embarrassé devant ses camarades de classe.

Par la suite, l’accusé a encore frappé la victime à plusieurs reprises à la tête. Il a ensuite saisi les cheveux de la victime à deux mains et l’a jeté sur le lit, puis l’a poussé dans le fauteuil le plus proche de la fenêtre et lui a donné deux coups de poing au visage. L’accusé a ensuite frappé la tête de la victime par les cheveux sur le dessus de la table basse et l’a également étranglée. Lorsqu’il a relâché la victime, la femme maltraitée a quitté la pièce, a crié à l’aide et a appelé le 112 sur son téléphone. L’accusé est également sorti dans le couloir, puis a traîné la victime dans la pièce et a continué à la maltraiter.

L’accusé n’a cessé de maltraiter la victime qu’après que plusieurs personnes se soient présentées à la porte de leur chambre. Selon les faits de l’acte d’accusation, l’accusé a agressé la victime à deux autres reprises avant l’incident.