Depuis janvier, la santé de la famille royale fait la une des journaux. Kate Middleton a subi une mystérieuse opération abdominale la contraignant au repos jusqu’en avril, tandis que Charles III a été opéré pour une hypertrophie de la prostate. Sarah Ferguson a également annoncé être atteinte d’un cancer de la peau. Ces nouvelles ont été suivies par un choc supplémentaire le 5 février, lorsque Buckingham a révélé que le roi était atteint d’une “forme de cancer”.
Peu d’informations ont été révélées sur la maladie du souverain, mais le palais a précisé qu’il ne s’agissait pas d’un cancer de la prostate. Charles III, qui a entamé un “programme de traitements”, reçoit ses soins en ambulatoire. L’annonce a inquiété le public et a également préoccupé le prince Harry, qui s’est envolé pour l’Angleterre peu de temps après sa publication.
Malgré les attentes, le mari de Meghan Markle n’est pas resté longtemps au chevet de son père, réalisant une visite de seulement 45 minutes. Selon le journaliste britannique Robert Jobson, cela s’explique par le fait que Charles III voulait “s’éviter un stress inutile”. Il a expliqué au Sun, “Il ne faut pas que sa tension artérielle augmente. Le roi n’est pas très bien, quel que soit le type de cancer, il suit un traitement”. Jobson a également noté que l’entrevue entre père et fils était leur première rencontre en bonne et due forme depuis 15 mois, la dernière ayant eu lieu lors de la mort d’Elizabeth II en septembre 2022.
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