IPMA — L’Instituto Português do Mar e da Atmosfera développe la plateforme numérique AgroClima, qui se traduit par un nouveau concept de « bulletin agroclimatique ». La plateforme est en phase de test, c’est pourquoi la DGADR – Direction générale de l’agriculture et du développement rural, en tant qu’organisme de coordination technique de l’AKIS – Système de connaissances et d’innovation agricoles, sollicite des contributions avec des suggestions pour son amélioration.
« Ce nouveau concept de « bulletin agroclimatique » est accessible à travers cette plateforme numérique qui intègre des informations détaillées sur les différentes régions du pays, agrégées par les différentes Unités Territoriales et zones agricoles, basées sur les données d’observation météorologique quotidienne du réseau IPMA (in situ et à distance) et la prévision météorologique numérique (modèle numérique)», précise la source institutionnelle de l’Institut.
À son tour, la DGADR précise que « compte tenu des nouveaux défis posés au secteur, la plateforme/bulletin se veut plus innovante et technologique, tant au niveau des sources de données utilisées que sous la forme de fourniture d’informations détaillées sur les différents secteurs ». régions du pays, agrégées par les différentes unités territoriales, sur la base des données d’observation météorologique quotidienne du réseau IPMA et des prévisions météorologiques numériques ».
L’IPMA souligne que « la relation entre activité agricole et météorologie remonte aux débuts de la civilisation, si pendant des milliers d’années les êtres humains se sont lancés dans des mouvements migratoires, suivant les conditions les plus favorables à leur survie, d’où l’on peut mettre en évidence les conditions climatiques, dans le processus Au cours de l’évolution, les êtres humains ont réussi à défier la nature en créant les conditions nécessaires pour tirer le meilleur parti du potentiel d’un environnement donné.
C’est dans ce contexte que « la connaissance des variables climatiques, que ce soit dans une perspective diagnostique, mais aussi dans une perspective pronostique, sont de plus en plus déterminantes pour la réussite des activités productives du secteur agricole et la survie de notre espèce ».
Et il ajoute qu’actuellement « l’un des grands défis du secteur agricole découle de l’intégration des nouvelles technologies dans les différents secteurs du secteur, c’est pourquoi il est nécessaire d’incorporer des données et informations météorologiques et climatologiques dans les processus pour soutenir prise de décision, dans les composantes de planification et de gestion ».
Le Portugal, à travers son Plan Stratégique PAC — Politique Agricole Commune, entend « améliorer le contexte de numérisation du secteur, accroître la libre disponibilité des informations générées dans le cadre de l’administration publique, promouvoir les conditions d’une plus grande rapidité dans la décision de soutien à l’investissement ».
En réponse, et « sur la base des synergies créées entre les associations d’agriculteurs de différents secteurs et l’IPMA, un nouveau concept de « bulletin agroclimatique » a été développé qui, compte tenu des nouveaux défis posés au secteur, se voulait plus innovant et technologique à la fois en termes de sources de données utilisées, mais aussi dans la manière dont les informations sont mises à disposition », ajoute l’Institut.
Vous pouvez accéder à la nouvelle plateforme AgroClima ici.
Et répondez au questionnaire de la DGADR ici.
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